1531-: Paracelse (-) compose son Opus paramirum où, comme dans le Textus paramiri (resté inachevé en ) ou dans le Paragranum (terminé en ), l'auteur développe ses idées «sur les rapports entre l'alchimie et les autres sciences, au premier rang desquelles se trouve la médecine[6]».
1erjuin: Johannes Sambucus (János Zsámboky) (mort en 1584), médecin, philologue, humaniste, historien, poète, collectionneur d'œuvres d'art et mécène hongrois[7],[8].
Olivier Zeller, «La Place des miséreux et des malades à Lyon, de l'Ancien Régime à nos jours», dans Villes et hospitalité: Les Municipalités et leurs étrangers, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, , 492p. (ISBN978-2-7351-1023-0, lire en ligne), p.79-101 [§21 en ligne].
Jean-Marc Madosio, «L'Alchimie dans les classifications des arts et des sciences», dans Jean-Claude Margolin (dir.) et Sylvain Matton (dir.), Alchimie et philosophie à la Renaissance (actes du colloque international de Tours (4-7 décembre 1991)), Paris, librairie philosophique J. Vrin, coll.«De Pétrarque à Descartes» (no57), , 478p. (ISBN2-7116-1172-8, lire en ligne), p.19.
Gábor Almási et Farkas Gábor Kiss, Humanistes du bassin des Carpates, t.II: Johannes Sambucus, Turnhout, Brepols et IRHT du CNRS, coll.«Europa humanistica», , 292p. (ISBN978-2-503-53162-5, lire en ligne).
Endre Bach, Un humaniste hongrois en France: Jean Sambucus et ses relations littéraires (1551-1584), Szeged, Institut français de l'université de Szeged, coll.«Études françaises» (no5), , 100p. (lire en ligne).
Paul Delaunay, La Vie médicale aux XVIe, XVIIeetXVIIIesiècles, Genève, Slatkine Reprints, (1reéd. 1935), 556p. (ISBN2-05-101732-8, lire en ligne), p.15, 132, 253, 265 et 387.