Fondation à Dijon en Bourgogne d'une maison-Dieu dite «Hôpital-aux-Riches» du nom de ses fondateurs, Dominique Le Riche et son frère, et conçue «principalement pour recevoir les pauvres passants et les pèlerins[2],[3]».
Entre Laneuville et Saint-Nicolas, près de Nancy, première mention, dans une donation de Thiéry des Rapins, de la léproserie de La Madeleine, «seule maladrerie dont on puisse constater l'existence [au XIIesiècle] d'une manière certaine dans la partie de la Lorraine qui dépendait du diocèse de Toul[4]».
L'abbaye de Pontfrault est mentionnée pour la première fois comme léproserie dans un acte de donation d'Arnoul, abbé de Ferrières[5],[6].
Léopold Delisle, «Notice historique sur la chapelle et l'hôpital aux Riches, par Jules d'Arbaumont [comte rendu, référence: Jules d'Arbaumont, Notice historique sur la chapelle et l'hôpital aux Riches (extrait des Mémoires de la Commission des antiquités de la Côte d'Or), Dijon, Eugène Jobard, , 144p., in-4°]», Bibliothèque de l'École des chartes, vol.31, , p.112-113 (lire en ligne).
Thierry Dutour, La Ville médiévale: Origines et triomphe de l'Europe urbaine, Paris, Odile Jacob, coll.«Histoire», , 316p. (ISBN2-7381-1238-2, lire en ligne), p.128.
Henri Stein, «Recueil des chartes de la maladrerie de Pontfraud près Château-Landon (XIe – XVesiècles)», Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais, vol.27, , p.39 (lire en ligne).