This Parisian branch of the Van Dievoet family became extinct in 1802 with the death of François Gilles Vandive.[4]
Depending on the source, the name of Philippe Van Dievoet was changed to Vandive either by the Dauphin[5] of whom he had been the jeweller, or by his father, King Louis XIV.[6] Before that, it was briefly written as Vandivout, in an attempt to frenchize the name.[7]
1743: hereditary nobility for Nicolas Félix Vandive, clerk of the Grand Conseil, sworn in on 26 April 1743, which granted him hereditary nobility as of 1763 after a service of 20 years (principle of nobility of 1743)[12][13]
first spelling used in France. Archives Nationales, notary Guillaume Charles BIOCHE, 1713 (étude XCVII), MC/ET/XCVII/438, fol. 61, constitution de tontine, émission 1759, 15 janvier 1761, M. Nicolas Felix Vandivout dit Vandive, ancien marchand orfèvre, Paris, domicilié paroisse Saint-Germain-L'auxerrois, as wel as MC/ET/XCVII/439, constitution de tontine, émission 1759, 3 mars 1761.
Translation: «with him as a guide your salvation is assured». Motto in honor of the Grand Dauphin, with an allusion to the legend of Arion saved by a dolphin.
Édouard Van Dievoet, «Van Dive, joaillier du Dauphin», in: L’Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, Paris, March 1953, col. 100. And according to an old family tradition found in a manuscrit family genealogy.
Archives Nationales, notary Guillaume Charles BIOCHE, 1713 (étude XCVII), MC/ET/XCVII/438, fol. 61, constitution de tontine, émission 1759, 15 janvier 1761, M. Nicolas Felix Vandivout dit Vandive, ancien marchand orfèvre, Paris, domicilié paroisse Saint-Germain-L'auxerrois, as wel as MC/ET/XCVII/439, constitution de tontine, émission 1759, 3 mars 1761.
Guillaume Denière, La juridiction consulaire de Paris, 1563-1792: sa création, ses luttes, son administration intérieure, ses usages et ses mœurs, Paris: H. Plon, 1872, p. 448: «1721. Quatrième consul. Sire Philippe Vandive, marchand du corps de l'orfèvrerie-joaillerie».
Alain van Dievoet, «Quand le savoir-faire des orfèvres bruxellois brillait à Versailles», in: Cahiers bruxellois, tome XXXVII, 1999-2003, Brussels, 2004, p. 41: «Archives générales du Royaume, Notariat général de Brabant, notaire Jean Pilloy, protocole n° 1242, acte du 20 août 1714 (n° 132): "Ce jourdhuy vingtième d'août 1714 par devant moy Jean Pilloy notaire royal resident a Bruxelles, et les témoins sousnommez, fut present Sr. Philippe Vandive Conseiller du Roy sindic general des Rentes de l'hotel de ville de Paris demeurant ordinairement en ladite ville de Paris estant de present en cette ville de Bruxelles».
Michèle Bimbenet-Privat, Les orfèvres et l'orfèvrerie de Paris au XVIIe siècle, Paris, 2002, tome I, p. 121: "Le département de la Garde-Robe compte aussi parmi ses officiers un orfèvre recruté pour le service du dauphin: Philippe Vandives ou Vandivout émarge à ce titre de 1680 à la mort de Monseigneur. C'est un Bruxellois, doté de lettres de naturalité en mars 1685, qui doit son intégration au groupe des orfèvres royaux à la protection de son beau-père, l'horloger Martinot, lui-même logé aux galeries du Louvre".
L'État de la France, tome IV, Paris, chez Ganeau, rue Saint Severin, près l'Église, aux Armes de Dombes et à Saint-Louis, avec privilège du roi, 1749, p.383: "Greffiers au Grand Conseil. 26 avril 1743. Nicolas-Felix Vandive, Greffier de l'Audience. 23 juillet 1720. Jean-Joseph Nau, Greffier de la Chambre. Nota. Le Roi a accordé la Noblesse pour toujours à l'ancien de ces deux Greffiers mourant dans sa charge, ou qui l'aura exercée durant vingt ans."
These are the arms that were recognised in the grant of familial arms that, on 14 October 1698, was delivered to Jean-Baptiste van Dievoet, husband of Anne van der Borcht, by Joseph van den Leene (1654-1742), King of Arms of the Duchy of Brabant, here is the copy: «Messire Joseph van den Leene Seigr: de Lodelinsart et de Castillon Conseillier de sa Majesté Cath: Le Roy Ntre Sire (que Dieu conserve) et son premier Roy d'arme es pays de pardeca costre de Namur et Tresorier de l'Eglise Collégiale et paroissiale de notre Dame a Walcort en la ditte province a atteste que les armes cÿ dessus depeintes et figures en ces meteaulx et couleurs (qui sont un escus d'argent partÿ de sable au chateau de lun en lautre charge en cœur d'un escusson d'or partÿ de guelles a la plante d'un pié dextre humain aussi de l'un en l'autre et accompagne en cheff de deux Etoiles a six rais l'un de guelles et l'autre d'or et en pointe dun croissant partÿ de l'escus) sont celles de famille de VANDIEVOET en temoin de ce jai signè cette et muni du cachet de mes armes. Fait ez Chambris Héraldique Palais en la ville de Fort bruxelles ce 14e jour du mois d'octobre 1698. dos D.J. Vandenleene. reg:».
Alfred Détrez, «Aristocrates et joailliers sous l'ancien régime», in: La Revue(ancienne Revue des Revues), volume 78, Paris, 1908, p.471: «aux grandes fortunes des Delahoquette, des Vandive, des Granchez»
Édouard Van Dievoet, «Van Dive, joaillier du Dauphin», in: L’Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, Paris, March 1953, col. 100.
Alfred Marie, Jeanne Marie, "Mansart à Versailles", in Versailles son histoire, volume 2, 1972, p.635 (written as Vandivout).
Yvonne Brunel, Marie-Adélaïde de Savoie, duchesse de Bourgogne, 1685-1712, foreword by Pierre Breillat, conservateur en chef à la Bibliothèque de la Ville de Versailles, Paris, Beauchesne, 1974, p.59 et 253.
Alain Van Dievoet, «Un disciple belge de Grinling Gibbons, le sculpteur Pierre van Dievoet (1661-1729) et son œuvre à Londres et Bruxelles», in Le Folklore Brabançon, March 1980, n° 225, pp.65–91.
André Monteyne, Les Bruxellois, un passé peu ordinaire, Brussels, Vander editions, 1982, p.109.
Alain Van Dievoet, «Van Dive, joaillier du Dauphin», in: L'intermédiaire des chercheurs et curieux: mensuel de questions et réponses sur tous sujets et toutes curiosités, Paris, n° 470, 1990, columns 645–650.
Michèle Bimbenet-Privat, Les orfèvres et l’orfèvrerie de Paris au xviie siècle, Paris, 2002, 2 vol., passim.
Alain Van Dievoet, «Une famille d'orfèvres d'origine bruxelloise à Paris: les VAN DIEVOET dits VANDIVE», in: Généalogie en Yvelines, n°66, December 2003
Pierre Le Roy et Paul Micio, Statuts et privilèges du corps des marchands orfevres-joyailliers de la ville de Paris: an 18th-century compendium of the laws governing silversmithing in Paris, published by J. Paul Getty Museum in association with the New York Public Library, 2003.
Mathieu da Vinha, Les Valets de chambre de Louis XIV, Paris, 2004, concernant la charge d'Officier de la Garde Robe du roi et les Martinot.
Nicolas Lylon-Caen, "Labrüe au paradis, Chapeau aux enfers. Les notables de Saint-Germain-l'Auxerrois face à leurs curés au xviiie siècle", Revue d'Histoire de l'Église de France, Éditeur Brepols, volume 92, n. 1 / 2006, p.117-146.
Hélène Cavalié née d'Escayrac-Lauture, Pierre Germain dit le Romain (1703-1783). Vie d'un orfèvre et de son entourage, Paris, 2007, thèse de l'École des Chartes, volumes I, pp.209, 210, 345, 350, 429, 447.
F. By, «Famille van Dievoet: Artistes, de père en fils», in Le Vif/L'Express numéro spécial Bruxelles: la saga des grandes familles, 26th year n°47 (Le Vif) and n°2993 (L'Express), 21–27 November 2008, p.121.
Stéphane Castelluccio (éd.), Le commerce du luxe à Paris aux xviie et xviiie siècles, échanges nationaux et internationaux, Paris, Peter Lang, 2009, p.241.
Paul Micio, Les Collections de Monsieur frère de Louis XIV, Paris: Somogy éditions d'art, 2014, p.47, note 169 et p.321.