Anne-Sophie Pic, née le 12 juillet 1969 à Valence (Drôme), est une chef cuisinière et maître restauratrice française.
C'est une récompense, pas une fin en soi. Une récompense pour un travail donné, un travail d'auteur, une régularité.
Au sujet de sa troisième étoile au guide Michelin.
«"Ma cuisine réside dans les intuitions"», Anne-Sophie Pic (propos recueillis par Véronique Zbinden, du journal "Le Temps" ), Le Monde, 27 mars 2012 (lire en ligne)
Ma cuisine réside le plus souvent dans les intuitions... C'est important — à partir d'un certain degré technique — de pouvoir faire confiance à son intuition.
«"Ma cuisine réside dans les intuitions"», Anne-Sophie Pic (propos recueillis par Véronique Zbinden, du journal "Le Temps" ), Le Monde, 27 mars 2012 (lire en ligne)
Étrangement on sollicite l’odorat systématiquement avec le vin, pas toujours avec la cuisine. Pourtant ce sens est particulièrement en éveil. Lorsque l’on prépare une sauce on la goûte mais surtout on la respire. Tout naturellement il me semblait nécessaire de l’emmener au cœur du restaurant.
Sur la place de l'odorat dans sa cuisine.
«Entretien avec Anne-Sophie Pic», Anne-Sophie Pic (propos recueillis par Marjorie Fenestre), Arts et gastronomie, 8 octobre 2012 (lire en ligne)
Ce qui compte pour moi, c'est de faire ce que j'aime, de faire plaisir aux gens, d'être dans cette démarche de sincérité. On essaie de donner quelque chose de vrai, qui corresponde à une émotion gastronomique.
«La chef Anne-Sophie Pic à la conquête de New York», Anne-Sophie Pic (propos recueillis par l'Agence France Presse), La Croix, 5 octobre 2014 (lire en ligne)
Depuis 1933, et la fameuse mère Brazier, elle est la première femme à conquérir une troisième étoile au Michelin. Une belle revanche sur le sort pour la petite-fille d'André Pic _ qui obtint cette consécration suprême en 1934 _ et fille de Jacques Pic, l'illustre chef, dont la mort subite à cinquante-neuf ans, en 1992, priva le restaurant du même nom de ses trois macarons.
«Portrait: Anne-Sophie Pic», Rédaction des Échos, Les Échos, 22 février 2007 (lire en ligne)
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