À ce moment, il aperçut un ours superbe, un grizzly à fourrure noire, de haute taille, qui marchait sur ses pieds de derrière en longeant la voie, troublé sans doute par cette lutte des éléments qui impressionne si vivement les animaux.—(Jules Verne, Le Testament d’un excentrique, 1899, livre 2, chap. 12)
Suzanne, en minaudant, me parle d'un manteau de fourrure, véritable occasion pour cet hiver et qu'il ne faudrait pas laisser passer!—(Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 230)
[…],et une peinture sous verre, fixée sur la façade, représentait une femme appétissante aux yeux noirs qui, frileusement, s'emmitouflait de fourrures.—(Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
(Héraldique) Se dit de l’hermine et du vair (ainsi que des dérivés) qui sont techniquement des semés d’un meuble spécifique avec des couleurs particulières qui n’ont pas besoin d’être énoncées (ce qui les distingue des autres semés qui nécessitent d’indiquer les couleurs du champ et des meubles). Autre différence avec les semés, les meubles utilisés sont considérés comme faisant partie intégrante du champ et n’introduisent pas de surcouche.
Écartelé d’hermine et de vair, qui est de Campagne-lès-Hesdin→ voir illustration «écartelé d’hermine et de vair»