C’est en été que la Terre se trouve à l’aphélie de son orbite. La Terre arrive à son aphélie.
Les perturbations planétaires agissent près du périhélie des orbites, par conséquent elles en changent l’aphélie.—(Société belge d’astronomie, météorologie et de physique du globe, Brussels, Ciel et terre: Volume 101, 1985)
Notes
Le Littré[EL] et Pierre Larousse[GDU19] le donnent pour féminin.
[JMR]Jean-Marie Ragon (1781-1862), «Examen critique du dictionnaire de l’Académie française, sixième édition publiée en 1835: Huitième article» pages 193-220 in Journal de la langue française et des langues en général, 3e série — tome I.— 1837 et 1838, page 201 note 1; (consulté le 20 juillet 2016): «[…] aphélie, m., est le plus grand éloignement d’un corps céleste d’un autre. Ce mot dérive du grec apo, loin, et de hélios, soleil; par conséquent sa prononciation doit être apélie. Aphélie est un non-sens pour ceux qui savent le grec. Il en est sans doute de même de aphérèse, f., suppression de la première syllabe d’un mot; opération de chirurgie. Cette expression est formée de apo (de) et de hairéo, gr. (je prends).»
[NL]: Napoléon Landais (1804-1852) , Dictionnaire classique français, contenant tous les mots du Dictionnaire de l’Académie, et plus de 3.000 qui ne s’y trouvent pas, avec l’étymologie et la prononciation figurée, extraits du Grand dictionnaire de Napoléon Landais, édité à Paris par Didier, 1839, page 36, colonne 1. Page procurée en fac simile par Gallica: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1657688/f43.item.zoom .
[LW]: Léon Warnant (1919-1996), Dictionnaire de la prononciation française dans sa norme actuelle, Duculot, édition de 1987, CXVII pages + 988 pages ISBN2-8011-0581-3, voir «aphélie» en page 37: une seule prononciation, avec \f\, est indiquée.