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enseignant, essayiste et réalisateur français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Tristan Mendès France, né le à Bordeaux, est un essayiste, chroniqueur, enseignant, et réalisateur français. Il intervient dans le domaine du numérique.
Secrétaire général Institut Pierre-Mendès-France | |
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jusqu'en |
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Joan Mendès France (d) |
Parentèle |
Pierre Mendès France (grand-père) |
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Fils de Joan et Michel Mendès France, et petit-fils de Pierre Mendès France[1], Tristan Mendès France passe en 1995 une maîtrise de droit public à l'université Paris 1, puis s'oriente vers des études de science politique à la Sorbonne[Laquelle ?] où il se spécialise en nouvelles technologies de la communication. Il passe un DEA de science politique en 1996 et commence une thèse (qu'il n'achève pas) sous la direction de Lucien Sfez, au Credap (Centre de recherches et d'études sur la décision administrative et politique ; anciennement hébergé par l'université de Paris I jusqu'à sa fermeture)[2].
Dans sa jeunesse, il milite à Ras l'front, association d'extrême gauche créée dans les années 1990. Il pousse alors le sénateur socialiste Michel Dreyfus-Schmidt — pour qui il travaille comme assistant parlementaire — à interpeller le ministre de l'Intérieur, Jean-Pierre Chevènement, pour expulser le mouvement catholique traditionaliste de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris, sans succès[3].
Il est administrateur de l'association Ensemble contre la peine de mort jusqu'en 2007[4], parraine l'association Anticor (fondée par le magistrat Éric Halphen, dont le but est de « lutter contre la corruption et rétablir l’éthique en politique »).
Membre du « comité scientifique » de la revue ProChoix, il est militant pro-avortement depuis 1998. Il est administrateur de l'Institut Pierre-Mendès-France, dont il a aussi été secrétaire général[5], jusqu'en .
Il est l'assistant parlementaire du sénateur socialiste Michel Dreyfus-Schmidt[6] de 1998[7] à 2008[8].
Il est depuis 2008 intervenant à l'École des hautes études en sciences de l'information et de la communication - Celsa[9], où il délivre des cours aux master 1 et 2 sur les nouvelles cultures numériques. Il est maître de conférences associé à l'université Paris-Cité en master 1 depuis [10] et enseigne à la Sorbonne-Nouvelle depuis 2015 sur la même thématique et délivre des formations « web2 » à l’École des métiers de l'information[11] à Paris depuis 2009.
Il participe à une série d'émissions radio sur la politique et l'histoire sur RCJ de 1996 à 2001[12] et est chroniqueur pour le magazine TOC[13]. Il est aussi chroniqueur occasionnel sur France Culture dans l'émission Place de la toile de 2008 à 2009[14] et sur France Inter dans l'émission Instant M depuis 2016 [15]. Le 4 décembre 2020, il devient chroniqueur du 7/9 de France Inter le vendredi (rubrique « Antidote »)[16]. Depuis 2021, il anime avec Rudy Reichstadt l'émission « Complorama » sur France Info[17].
À partir de 2006, il développe, avec Alban Fischer, un vidéo-blog-reportage participatif sur des sujets tels que le génocide par les Khmers rouges au Cambodge, le génocide arménien en Turquie et, en , sur la question des réfugiés du Darfour, en partenariat avec l'Institut national de l'audiovisuel (Ina)[18]. Ce qui les a conduit à réaliser Une journée à Gaga : camp de réfugiés du Darfour[19], documentaire produit par l'Ina. Pour cette initiative de blogtrotters, ils obtiennent en 2007 le prix Michel Colonna d'Istria délivré par le Groupement des éditeurs de services en ligne (Geste)[20] et sont finalistes du Online Journalism Awards 2008[21].
Il lance avec Cinquième étage production[22], un web-documentaire satirique sur la dictature birmane : Happy World[23] pour la version en ligne prévue en et un documentaire diffusé sur la chaîne Planète+ en .
En 2019, il lance le projet « Stop hate money » dont l'objectif est de « responsabiliser les acteurs et les intermédiaires financiers qui facilitent (parfois sans le savoir) la propagation des discours de haine en ligne »[24].
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