Mike Ribble est contraint, après une chute, d’arrêter son métier de trapéziste. Il enseigne à Tino les secrets de son numéro de triple saut. Tino est très doué et Mike voudrait qu'il devienne l'émérite trapéziste que lui-même était avant son accident. Mike parvient à reprendre son numéro de voltige. Lola, à la recherche d'un engagement, désire ardemment se joindre à eux.
Scénario: James R. Webb, Liam O'Brien(en), Ben Hecht et Wolf Mankowitz (les deux derniers non crédités), d'après le roman de Max Catto, The Killing Frost, 1950 pour l'édition anglaise et 1956 pour l'édition française (Trois trapézistes ou le disque qui tue, Éditions Robert Laffont)
Burt Lancaster, ayant été acrobate de cirque avant d'être acteur, exécute lui-même la plupart des numéros de trapèze. L'acrobate-conseil Edward Ward hésita d'abord à ce que l'acteur tourne les scènes dangereuses et le doubla durant les premières semaines, mais Lancaster expliqua au réalisateur Carol Reed qu'il savait comment exécuter le numéro final et c'est donc lui que l'on voit dans les dernières scènes.[réf.souhaitée]
Fay Alexander est la doublure de Tony Curtis lors de ses numéros aériens. Mais une des figures inédites et dangereuses que l'on voit dans le film a été réalisée par le célèbre trapéziste français Jean Palacy (1930-2010). Selon le témoignage de celui-ci, il n'a jamais été crédité ni n'a bénéficié d'un seul centime pour sa prestation.[réf.souhaitée]
Achille Zavatta, annoncé au générique en vedette américaine, n'apparaît dans le film que brièvement comme simple figurant[2] en ouverture de la parade (en 1h02). Dès le début du tournage au Cirque d'Hiver, le rôle de clown qu'il devait jouer a été remplacé par celui d'un nain. Son contrat cinématographique a été honoré en tant que conseiller technique pour les scènes de cirque[3].
Dominique Denis, «Trapèze de Carol Reed - le film», sur Circus Parade, Circus-Parade-la-page-des-amateurs-de-lHistoire-du-Cirque-1721995494714682, (consulté le ).
Achille Zavatta (Souvenirs recueillis par Jacques Labib), chap.26 «Le réveillon de l'homme-sandwich», dans Viva Zavatta, Paris, Robert Laffont, coll.«Vécu», (SUDOC04843972X), p.256-257.