Réciproquement, quand on remplace par et par , on retrouve le cas général.
En remplaçant par , on déduit de cette première variante[4]:
.
Réciproquement, la première variante se déduit de la deuxième en remplaçant par .
On peut de même remplacer par dans le théorème.
On peut bien sûr remplacer par dans le théorème. Ceci, précédé d'un remplacement de par , donne comme théorème équivalent[5]:
.
En effectuant le changement d'indice dans le théorème et ses variantes, on en trouve de nouvelles. Par exemple, la deuxième variante ci-dessus devient[6]:
.
Il est également possible de déduire la variante suivante[7]:
(de) N. H. Abel, «Beweis eines Ausdruckes, von welchem die Binomial-Formel ein einzelner Fall ist», J. reine angew. Math, vol.1, , p.159-160 (lire en ligne).
(en) Henry W. Gould(en), Combinatorial Identities, A Standardized Set of Tables Listing 500 Binomial Coefficient Summations, (lire en ligne), p.15, (1.117), (1.118) et (1.119)
(en) Henry W. Gould et J. Quaintance (ed.), Tables of Combinatorial Identities, vol.4, (lire en ligne), p.18
(en) He Tianxiao, Leetsch C. Hsu et Peter J. S. Shiue, «On Abel-Gontscharoff-Gould's polynomials», Analysis in Theory and Applications, vol.19, no2, , p.166-184 (DOI10.1007/BF02835242, lire en ligne)