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Sándor Képíró (né le à Sarkad – mort le à Budapest[1]) est un ancien capitaine de gendarmerie hongrois. Il a été accusé de complicité d'actes de crimes de guerre.
Cet article est une ébauche concernant un militaire hongrois.
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Sándor Képíró
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Sépulture | |
| Nom dans la langue maternelle |
Képíró Sándor |
| Nom de naissance |
Képíró Sándor Tibor |
| Nationalité | |
| Activités |
| Arme | |
|---|---|
| Grade militaire | |
| Conflit |
En 1944, il avait été condamné à 10 ans de prison par un tribunal militaire hongrois, peine rapidement annulée à la fin de l'année. A la fin de la guerre, il est condamné une deuxième fois par contumace à 14 ans de prison[2], mais il n'a jamais purgé cette peine, fuyant en Argentine avant de revenir en Hongrie en 1996. Le centre Simon-Wiesenthal l'avait placé en tête des criminels nazis les plus recherchés.
Il est arrêté le par la police hongroise[3] et accusé de complicité d'actes de crimes de guerre sur des civils lors d'une rafle entre les 21 et à Novi Sad, au cours de laquelle 1 200 civils juifs et serbes furent tués, lors de la Seconde Guerre mondiale.
Sándor Képíró, qui a toujours clamé son innocence, est accusé directement du meurtre de 36 personnes dont il aurait ordonné l'exécution. Le , il est acquitté par le tribunal de Budapest[4],[5] et décède quelques semaines plus tard le .
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