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La liturgie de saint Jacques, aussi appelée liturgie de Jérusalem, se forme au IVe siècle et disparaît de l’usage normatif vers le XIIe siècle. En amont l’influence du judaïsme en fait un sujet d’étude intéressant pour comprendre l’origine d’institutions chrétiennes aussi centrales que la messe ou la fête de Pâques. En aval elle influença bon nombre d’autres traditions liturgiques, en Orient comme en Occident. Ce double aspect justifie un traitement spécial dans le cadre d’un portail sur le christianisme.
Le rite de Jérusalem était connu principalement à l’époque moderne par la Liturgie de saint Jacques, dont il existe une bonne douzaine d’éditions depuis le XVIe siècle. Il passe au premier plan de la recherche liturgique peu avant la Première Guerre mondiale par la découverte de trois documents fondamentaux :
Les bibliothèques de manuscrits grecs et géorgiens, au Sinaï, à Tbilissi, à Grottaferrata, conservent des manuscrits issus plus ou moins directement de la Palestine byzantine. Ces manuscrits sont loin d'avoir été tous édités à l’heure actuelle. Le domaine de recherche comprend aussi des calendriers, des horologes[3], des manuscrits hymniques et homilétiques, surtout en géorgien, auxquels s'ajoutent les manuscrits bibliques qui contiennent des notations liturgiques, dans toutes les langues parlées autrefois en Palestine chrétienne (araméen syro-palestinien, arabe, géorgien).
Les Géorgiens étaient installés en Terre sainte dès le début de la période byzantine. Ils ont traduit dans leur langue des documents qui n’existent plus en grec, leur langue d’origine. Ils ouvrent un champ de recherche passionnant sur les origines de la liturgie chrétienne.
Par « euchologie » on entend tout ce qui concerne les mots de la liturgie, c’est-à-dire les prières. Le terme s'étend aux rubriques, aux explications, qui les accompagnent dans les manuscrits. Une partie seulement du matériel est suffisamment connue pour pouvoir être indiquée ici.
La structure générale de cette Liturgie n’est pas différente des autres formulaires de messe que nous connaissons, à savoir :
Avant la liturgie de la parole, le formulaire géorgien prévoit une offrande préalable du pain et du vin, comparable, en plus bref, à la prothésis du rite byzantin actuel si ce n'est qu'elle prend place, en principe, à l'autel (et non dans le diakonikon). Curieusement le formulaire grec ignore cette offrande préalable, et les prières qui l’accompagnent en géorgien sont omises ou déplacées à d’autres endroits de la Liturgie. La Liturgie de saint Jacques comprend donc une forme archaïque, probablement la plus ancienne forme connue, de la prothesis, mais en même temps, dans sa version grecque, elle a omis ce rite d’offrande. La raison de son omission ressort d’une étude serrée des différences minimes entre les textes géorgien et grec : il y a en géorgien un vocabulaire sacrificiel qui tendait à faire déjà de la prothesis un sacrifice, alors que ce vocabulaire devrait être réservé à l’offrande durant la liturgie des fidèles[4].
La seconde partie peut se diviser en cinq sections :
Dans sa cinquième catéchèse mystagogique, Jean II fait un commentaire suivi des prières de la messe, ce qui permet de se faire une idée du formulaire en usage à Jérusalem à la fin du IVe siècle (peu avant Juvénal à qui, par comparaison, il faut probablement attribuer la forme la plus ancienne de la Liturgie mise sous le nom de Jacques le Juste). Et au début de ce siècle, Eusèbe de Césarée fait une intéressante référence à la prière eucharistique en usage en Palestine[6]. En outre, on trouve chez Origène, dans la première moitié du IIIe siècle, une curieuse allusion à l'offrande eucharistique[7]. Si l'on ajoute que la prière des XVIII bénédictions a exercé une influence sur la formation d'une prière essentielle dans la liturgie de Jérusalem (comme on vient de le voir)[8], ces sources permettent de proposer quelques hypothèses sur la formation de l'anaphore eucharistique à Jérusalem (ou d'abord à Césarée ?).
Un office de Présanctifiés est un office de communion qui utilise les saints dons (le pain et le vin) consacrés lors d’une célébration précédente. Son origine vient de l’usage de communier les jours de jeûne, alors que l’on évitait de célébrer l’eucharistie ces jours-là, l’eucharistie ayant toujours quelque chose de festif (le Rite romain conserve le souvenir de cet usage : l’interdiction de célébrer l’Eucharistie le Vendredi saint). En pratique, dans le rite byzantin actuel, cet office s’insère dans la liturgie du soir, les vêpres, chaque mercredi et vendredi pendant le temps de carême. Du lundi au vendredi la célébration de l’eucharistie est interdite. La communion utilise donc le pain et le vin consacrés le dimanche précédent[9]. Le lectionnaire de Jérusalem mentionne cet office chaque soir durant les troisième et deuxième semaines avant Pâques, probablement parce que la troisième semaine avant Pâques représentait, dans une ancienne tradition, le début de la préparation au baptême et du jeûne pascal.
Comme dans la pratique actuelle, l’office se célébrait le soir. Une étude rapprochée de la place des lectures bibliques, qui n’étaient pas les mêmes que la série des lectures de l’office du soir de carême, permet de supposer qu’à l’origine il précédait l’office du soir, alors que pour les copistes des manuscrits, les deux séries de lectures ont été mélangées dans le cadre du même office, à savoir l’office des vêpres (ce qui est aussi la pratique actuelle dans le rite byzantin). À l’origine, l’usage était de rompre le jeûne dans l’après-midi, à la 9e heure, donc avant l’office des vêpres qui avait lieu à partir de la 10e heure. Il restait donc du temps pour prendre son repas après avoir communié, avant l’office du soir. C’est en effet après la communion que l’on peut prendre son repas ces jours-là, comme dans le rite actuel. Dans la pratique actuelle, la célébration de l’office du soir est souvent fort avancée, parfois même dans la matinée.
Les manuscrits géorgiens conservent un formulaire de liturgie présanctifiée où quelques prières sont empruntées à la Liturgie de saint Jacques[10]. La célébration des Présanctifiés est sans doute plus ancienne à Jérusalem qu’à Constantinople, qui a développé son propre formulaire, souvent attribué à saint Grégoire (parfois à saint Épiphane). La première attestation d’un office de Présanctifiés est à chercher dans le rite d’Alexandrie, au Ve siècle, selon une allusion de l’historien Socrate de Byzance (Histoire ecclésiastique, V 22).
Il faut distinguer l’office des Présanctifiés, qui est un rite cathédral, c’est-à-dire un rite de l’église en présence ou au nom de l’évêque local, des offices de communion privée, qui sont caractéristiques du rite monastique. De tels offices sont attestés dès le IXe siècle[11]. L’office des « typiques » de l’horologion byzantin actuel garde un souvenir de cet usage.
Charles Mercier, La Liturgie de saint Jacques : édition critique du texte grec avec traduction latine, Patrologia Orientalis, 26 (1946), 115-256
Michael Tarchnišvili, Liturgia Sancti Jacobi, dans Liturgiæ Ibericæ antiquores (CSCO 122 & 123), t. I, p. 1-34 et II, p. 1-25, Louvain, 1950 ; J. Jedlička, Das Prager Fragment der altgeorgischen Jakobusliturgie, Archiv Orientalni, 29 (1961), 183-196 (début du même manuscrit)
Michael Tarchnišvili, Missa Præsanctificatorum, dans Liturgiæ Ibericæ antiquores (CSCO 122 & 123), t. I, p. 93-101 et II, p. 123, p. 71-77, Louvain, 1950 ; B. Outtier, Fragments onciaux du Lectionnaire géorgien, Bedi Kartlisa, 33 (1975), 110-118
Le latin statio, qui veut dire à la fois jeûne et jour de jeûne, vient de la traduction de l’hébreu ma‘amad. Une station désigne une division du peuple d’Israël en autant de classes qu’il y a de divisions de la tribu sacerdotale (mishna Taanit, 2, 7, 4, 2-3 ; Megilah, 3, 4 ; Tamid, 5, 6 ; Bikurim, 3, 2) ; il s’agit, en somme, des Israëlites non prêtres qui habitaient dans la même région que la classe sacerdotale dont c’était le tour de garde (mishmar), le tour de servir, dans le temple (il y aurait à cette époque, vingt-quatre classes sacerdotales servant chacune une semaine). Les an’shê ma‘amad participaient au culte sacrificiel en l’accompagnant par la prière, soit à Jérusalem même par une délégation restreinte soit dans les villages d’où provenait la classe sacerdotale, où ils se réunissaient, curieusement, pour la lecture du ma‘aseh bereshit (= Gn. 1 - 2, 3) ; le jeûne jusqu’au soir est observé du lundi au jeudi.
Parallèlement s'est développée la tradition de jeûne chaque lundi et jeudi, dont font état les sources juives (mishna Ta‘anit, 1, 4-6.9) ainsi qu'un texte chrétien de la fin du premier siècle (Didachè, 8, 1), pour dire que les chrétiens ont choisi à la place les mercredis et vendredis. Ces deux jours sont demeurés officiellement jours de jeûne (ou d'abstinence) jusqu'au soir, dans certains courants du monachisme oriental.
À Jérusalem comme partout ailleurs dans l'antiquité chrétienne, le mercredi et le vendredi sont des jours de station. D'après Égérie, ces jours-là on se rend à l'église de Sion pour l'office de la neuvième heure où se célèbre l'oblation (l'eucharistie). On va ensuite en procession à l'Anastasis pour l'office du soir (chapitre 27). Elle relate d'autres détails : durant le temps de carême, l'oblation est supprimée pour permettre aux « hebdomadiers » de ne pas rompre le jeûne (ce jeûne de plusieurs jours rappelle celui des an’shê ma‘amad) ; lors d'une fête de martyrs qui tomberait un mercredi ou un vendredi, l'oblation a quand-même lieu en carême ; et durant le temps pascal, le jeûne est supprimé tandis que l'oblation est placée le matin, comme un dimanche habituel. D'autres sources montrent qu'avant le IVe siècle l'eucharistie était bien célébrée les jours de jeûne (mercredis et vendredis), le matin (Tertullien, De oratione, 19, 1-4) ; et que c'est bien après l'office de la neuvième heure (et non après l'office du soir) que le jeûne était rompu (id., 2, 3 ; 10, 2.5 ; Épiphane, Panarion, Expositio fidei, 22, 1-5).
Les deux lectionnaires (arménien et géorgien) ne donnent pas les textes qui auraient été lus à l'eucharistie des mercredis et vendredis du temps ordinaire. Il s'agissait notamment des évangiles du cycle de l'année liturgique de Jérusalem. Ils conservent seulement le cycle quadragésimal pour ces deux jours : l'office de lectures est déplacé de la 9e à la 10e heure, bien que se trouvant à Sion[12]. Le lectionnaire géorgien donne des lectures pour d'autres jours du carême, y compris pour les samedis et dimanches où ces lectures peuvent remonter à l'époque contemporaine du vieux lectionnaire arménien (début du Ve siècle). L'office du soir en semaine semble désormais se faire chaque jour à Sion (et non seulement les mercredis et vendredis).
Le lectionnaire géorgien fait allusion à l'office des Présanctifiés. Il est certain que ce rite est introduit à l'origine pour répondre au problème évoqué par Égérie (comment communier les mercredis et vendredis de carême, alors que la célébration de l'eucharistie est réservée aux samedis et dimanches de carême)[13]. La couche ancienne des rubriques relatives à cet office suggère même que les lectures suivies de la communion se faisaient avant l'office du soir, donc dans le cadre de l'office de la neuvième heure, ce qui est l'usage ancien pour l'office à Sion, attesté par Égérie. Dans le rite byzantin actuel, et dans la seconde couche du lectionnaire géorgien, la communion a lieu après l'office du soir, dans lequel les lectures sont insérées.
La pèlerine Égérie évoque une vigile (une nuit de veille) à l’Anastasis du vendredi soir au samedi matin pendant le temps de carême (27, 7 ; 29, 1). Des vigiles du samedi sont mentionnées par Cassien comme un héritage apostolique : « depuis l’origine de la religion et de la foi chrétienne au temps de la prédication apostolique » (Institutions cénobitiques, III 91) « observée jusqu’à ce jour dans tout l’Orient » (ibid., 91). Elles ne semblent pas être entrées dans le rite cathédral ordinaire, puisqu’on n’en trouve aucune indication explicite dans le lectionnaire ; toutefois, on peut observer dans le cycle du carême du lectionnaire géorgien un cas de « vêpres + Liturgie » le quatrième samedi avant Pâques (no 463) et de même le dernier samedi (la nuit avant la vigile pascale), où le document mentionne la célébration de l’office du matin (no 704 et no 168+) suivi d’un tropaire et de lectures (no 705-707 ; no 169+-173+). Le document grec qui contient les rubriques de la Grande Semaine (stavrou 43, voir ci-dessus) décrit avec un certain détail cette vigile, appelée « agrypnie »[14].
Ce type de vigile appartient à la liturgie monastique et non à la liturgie cathédrale proprement dite, c’est-à-dire en présence de l’évêque. Le document grec en question le dit explicitement en indiquant que la rubrique concerne les moines « spoudaïtes » (c’est-à-dire du monastère du spoudaeon rattaché à l’Anastasis dès le Ve siècle) et que l’évêque n’arrive à l’Anastasis qu’à la fin de la vigile pour l’office du matin. D’autre part le texte fait allusion à la lecture du psautier dont il cite le premier verset. Ceci est caractéristique des vigiles monastiques du rite palestinien[15].
Il est difficile d'expliquer la présence de cette vigile du samedi sans admettre l'importance de l'héritage et de l'influence juive sur la formation de la liturgie chrétienne. Car si l'on veille la nuit du vendredi au samedi, ce ne peut être qu'à cause du repos sabbatique, du shabbat, jour principal de la semaine dans la Bible et le judaïsme.
Dans le rite byzantin actuel, chaque semaine a lieu un office de vigiles (d’agrypnie), qui revient à célébrer l’un à la suite de l’autre l’office des vêpres et l’office des matines, toutefois avec plus de solennité que les autres jours. On y fait par exemple une « litie » (une procession) à la fin des vêpres, on lit un Évangile relatif à la résurrection de Jésus, on chante un « canon » propre au thème de la résurrection. C’est ce que les liturgistes appellent les « vigiles de la résurrection » ou « vigiles cathédrales hebdomadaires ». L’origine de cet office, et une part significative de sa structure et de son contenu, se trouve dans la liturgie de Jérusalem, dont on peut suivre l’évolution à partir d’Égérie. Distinguons cinq parties à partir de cette description :
L'office est donc terminé au point 4, mais la veillée du point 1 se poursuit maintenant pour ceux qui le souhaitent, et cela sans doute de la même manière qu'au point 1 (lecture plus ou moins solennisée du psautier).
L'heure de la fin de la veillée (« jusqu'à l'aube ») est l'heure de la fin de l'office du matin en semaine (44, 2)[18]. À ce moment commence, le dimanche, la Liturgie eucharistique (25, 1-4).
Les mots tertia, sexta, nona ont déjà chez Égérie un sens technique. De son récit on peut tirer une conclusion concernant la fréquence des petites heures à la fin du IVe s., et une déduction (hypothétique) concernant leur origine. Tierce ne se disait que pendant le carême, sexte en tout temps sauf le dimanche, none en tout temps sauf le dimanche et pas non plus les mercredis et vendredis du temps de carême. Les offices de tierce, sexte, none se font dans l’Anastasis, sauf none pendant la grande semaine au Martyrium (Égérie, 30, 2) et tous les mercredis et vendredis à Sion, où none est suivi de l’oblation (sauf en carême, 27, 6).
Les petites heures ont une origine antérieure à la liturgie cathédrale où ils se sont introduits partiellement et où ils auront tendance à disparaître alors qu'ils s'introduiront rapidement dans la liturgie monastique (comme on le voit dès cette époque chez Cassien)[19]. On peut se demander s'il n'y a pas eu deux systèmes de prière quotidienne, celui des milieux judéo-chrétiens avec trois temps (3e, 6e et 9e heures) et celui des autres avec deux temps de prière (matin et soir). La pratique des trois heures de prière quotidienne est en effet plutôt d'origine juive, comme le suggèrent les sources suivantes :
Toutefois on peut aussi considérer que la pratique des petites heures, comme le suggère en particulier le texte de Daniel, a une origine privée facultative, et qu'elle n'a pas existé séparément des deux autres moments de prière dans la liturgie commune (ou « paroissiale »).
L'office se composait de psaumes et d'antiennes (Égérie, 24, 3). On est fondé à penser que les psaumes étaient fixes : « … on fait en sorte de dire toujours des psaumes ou des antiennes appropriés (apti). Qu’on les dise de nuit, qu’on les dise au contraire le matin, qu’on les dise encore dans la journée, à la sixième heure, à la neuvième heure ou au lucernaire, ils sont toujours appropriés et bien choisis (semper ita apti et ita rationabiles), de manière à être en rapport avec ce que l’on célèbre » (25, 5). La tradition byzantine actuelle, qui est largement héritée de Mar-Saba, prescrit les psaumes 16, 24, 50 à tierce, 53, 54, 90 à sexte, et 83-85 à none (noter « Sion » dans le Ps. 85).
Nous avons noté plus haut à propos des vigiles de la résurrection les éléments essentiels de cet office : une veillée, des psaumes (ou hymnes) et les renvois sous la direction de l'évêque.
Le vieux lectionnaire arménien connaît trois vigiles,
Les vigiles de l’Épiphanie et de Pâques sont assez semblables. Après le lucernaire (l'office du soir), elles comprennent douze lectures, dont certaines sont identiques pour ces deux fêtes. La douzième, le cantique des Trois jeunes-gens dans la fournaise (Dn 3, 52-90), est antiphonée : l’assemblée répond par un refrain non-biblique aux différents versets du cantique. Une liturgie eucharistique (deux à Pâques) suit ces lectures.
Des vigiles pour le 40e jour après Pâques (ch. 42) et pour le 40e jour après l'Épiphanie (ch. 26) sont aussi mentionnées par Égérie. La description est assez précise pour le 40e jour après Pâques : on se rend à Bethléem la veille « après la sixième heure » et, le lendemain (donc après avoir dormi, comme à Pâques et à l'Épiphanie), une liturgie eucharistique se célèbre au même endroit.
Le lectionnaire géorgien transpose premièrement les vigiles de la nativité le et donne pour le une série de lectures plus appropriée à la thématique du baptême de Jésus vers laquelle a évolué l'Épiphanie (sans doute déjà sous l'évêque Juvénal). L'eucharistie suit désormais directement la séquence lucernaire-vigiles. Des vigiles ont pu exister à l'occasion d'autres fêtes, comme aux fêtes de l'Ascension, de la Transfiguration ou de la Dormition (aussi à l'Hypapante et à Pentecôte), mais les allusions du lectionnaire sont assez imprécises.
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