Terson a été décrit pour la première fois par l'ophtalmologiste allemand MoritzLitten (en) en 1881, puis en 1900 par l'ophtalmologiste français Albert Terson
dans le bureau de Litten, accepte à contrecœur d'assister à la fête de Madame Nyssen avec lui et sa sœur. Helga refuse de laisser Moritz assister à une sortie
doctorat en 1897. Il travaille comme assistant à Paul Ehrlich (1898-99), à MoritzLitten (1899-1902) et à Ernst Viktor von Leyden (1902-06). En 1906 il devient
In: Deutsche medizinische Wochenschrift. (Berlin), 1885 S. 117 ff. MoritzLitten (de): Zum Tode Friedrich Theodor Frerichs. In: Wiener medizinische Wochenschrift
frère, Moritz Traube, connu aujourd'hui comme chimiste, mais qui a aussi continué la tradition familiale du commerce du vin. Le docteur MoritzLitten (de)