Leur nom espagnol provient du mot de langue nahuatlmazatl qui signifie «gibier», alors que ces premières nations s'appellent dans leur langue Ha shuta enima c'est-à-dire «gens humbles et travailleurs».
Les Mazatèques ont acquis une certaine célébrité internationale du fait de leurs cultes religieux millénaires utilisant des champignons hallucinogènes[1] comme le teonanácatl, popularisé depuis les années 1960 par la mazatèque María Sabina[2].
L'origine de la langue parlée par les Mazatèques est controversée:
famille otomangue, sous-groupe popoloca selon certains,
famille popoloca, groupe olmèque-otomangue, sous-groupe otomi-mixtèque selon Swadesh
famille oaxaca, sous-famille mazatèque, d'après le département de linguistique de l'Instituto Nacional de Antropología e Historia
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Bibliographie
(es) Eckart Boege, Los Mazatecos ante la nación: contradicciones de la identidad étnica en el México actual, Siglo veintiuno, México, 1988, 306 p. (ISBN968-23-1422-4)
Magali Demanget , La chair des dieux est-elle à vendre?: chamanisme, tourisme et ethnicité en terre mazatèque (Mexique), Université Paris Ouest Nanterre La Défense, 2006, 728 p. (thèse d'Ethnologie)
(en) Paja Faudree, Singing for the dead: the politics of indigenous revival in Mexico, Duke University Press, Durham and London, 2013, 315 p. (ISBN978-0-8223-5431-4)
(es) Carlos Incháustegui, Figuras en la niebla: relatos y creencias de los mazatecos, Premiá, México, 1984, 152 p. (ISBN968-434-278-0)
Filmographie
(en + es) Brujo: Shaman, film documentaire de Claudine Viallon et Georges Payrastre, Documentary Educational Resources, Watertown, 2005 (cop. 1977), 55 min (DVD)
(en) Benjamin Feinberg, The devil's book of culture: history, mushrooms, and caves in southern Mexico, University of Texas Press, Austin, TX, 2003, 272 p. (ISBN0-292-70550-6)