Méteren

commune française du département du Nord De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Méteren [metʁɛn] est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Faits en bref Administration, Pays ...
Méteren
Méteren
Mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté d'agglomération Cœur de Flandre
Maire
Mandat
Elizabeth Boulet
2020-2026
Code postal 59270
Code commune 59401
Démographie
Gentilé Méterennois
Population
municipale
2 230 hab. (2022 )
Densité 121 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 44′ 29″ nord, 2° 41′ 35″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 150 m
Superficie 18,44 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Armentières (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bailleul
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
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Méteren
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Méteren
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Méteren
Liens
Site web www.ville-meteren.fr
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    Géographie

    Résumé
    Contexte
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    Méteren dans son canton et son arrondissement.

    Méteren est située dans le département du Nord, jouxtant la ville de Bailleul et le Mont des Cats. Son territoire s'étend sur 1 844 hectares. Elle est traversée par la RD 933, la RD 42, la RD 18 et la RD 318. Deux échangeurs de l'autoroute A25 desservent le village.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Meteren Becque, la Becque de Flètre, la Courte Croix[1], les Quatre Fils Aymon[2],[3],[Carte 1].

    La Meteren Becque, d'une longueur de 19 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Lys à Estaires, après avoir traversé sept communes[4].

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    Réseau hydrographique de Méteren[Note 1].

    Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang des Quatre Fils Aymon (4,3 ha)[Carte 1],[5].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Lys ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Lys. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'élaboration du SAGE de la Lys (SYMSAGEL)[6].

    La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].

    Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 733 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Steenvoorde à 11 km à vol d'oiseau[9], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 727,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Au , Méteren est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Armentières (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant dix communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7 %), zones urbanisées (4,2 %), forêts (0,1 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

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    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Toponymie

    Méteren est un hydronyme et viendrait de Matrona (divinité des sources et des cours d'eau). En 1158, le village est cité sous le nom de Matrenes (bulle du pape Alexandre III)[19].

    Histoire

    Résumé
    Contexte

    Époque médiévale

    Restes du château des seigneurs de Méteren. D'après Behague, il en est resté des vestiges jusque vers le milieu du XIXe s., sur la propriété dénommée dans le terrier “Hoog-Wal”; l'endroit s'appelait le fort (t'foort)[20].

    Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Bailleul[21].

    XIXe siècle

    • 1851 : création du corps de sapeurs pompiers[22]

    Première Guerre Mondiale

    • jeudi , les Allemands pillent la perception et emportent les 1252,97 F qui s'y trouvaient[23]. Arrestation du maire César Herreman
    • mardi , les Anglais délogent les Allemands du village. Mort du Lieutenant Artwood Morris.

    Stationnement des troupes anglaises jusqu'en 1918.

    • 1916 : la foudre tombe sur le clocher.
    •  : évacuation du village.
    • 12- 11 000 obus tombent sur le village qui est alors rasé.

    La commune reçoit donc la croix de guerre 1914-1918 le 1, .

    Entre-deux guerres

    • 1919 : premiers ensemencements des champs[24]
    •  : premier conseil municipal, avec présents. Constatation de la perte des documents cadastraux de 1856. Décision de construire une maison provisoire sur la place.
    •  : demande de baraquements pour loger les évacués
    • fin  : 850 habitants logeant des baraquements en demi lune couverts de tôles ou en bois.
    •  : demande à Alger de parrainer la commune.
    •  : première élections municipales
    •  : création d'une commission foncière pour la recherche et le rétablissement des limites de propriétés disparues.
    •  : approbation des plans de l'église, du presbytère, de la mairie et de la poste, proposés par les architectes Quételart et Pawlowsky.
    •  : pose de la première pierre de l'église.
    •  : inauguration des écoles publiques
    •  : inauguration de la mairie, de l'hospice et de la poste.
    •  : création du syndicat intercommunal d'électrification.
    •  : une famille de Méteren fête le baptême de son vingtième enfant, le Préfet du Nord est son parrain[25].
    •  : inauguration et bénédiction de la nouvelle église par MgrGeorges Jansoone.
    •  : congrès diocésain eucharistique

    Seconde Guerre mondiale

    En , les bombes causent le bris des vitraux de l'église et quelques dégâts minimes sur la tour. Les réparations se firent dans les années 1950 car l'église était utilisable.

    Héraldique

    Davantage d’informations Blason, Détails ...
    Thumb Blason
    De gueules à deux clefs d'argent affrontées et passées en sautoir, et sur le tout un écusson d'or à trois cors de sable, liés de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
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    Politique et administration

    Liste des maires

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    La mairie.

    Maire de 1802 à 1807 : David Berteloot[26],[27].
    Maire en 1881 : Decuive (Becuwe?) -Gantois[28].

    Davantage d’informations Période, Identité ...
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1958 Georges Herreman    
    1958 César Lauwerie   Maire honoraire
    Erick Dufour    
    Béatrice Descamps RPR puis
    UMP-LR
    Professeure retraitée
    Sénatrice du Nord (2007 → 2010)
    Conseillère départementale de Bailleul (2015 → 2021)
    Présidente de la CCR des Monts de Flandres (1994 → 2007)
    mai 2020 En cours
    (au 14 septembre 2023)
    Elizabeth Boulet[35] DVD[35] Cadre de la fonction publique
    Conseillère régionale des Hauts-de-France (2015 → 2021)
    1re vice-présidente de Cœur de Flandre Agglo (2020 → )
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    Population et société

    Résumé
    Contexte

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2022, la commune comptait 2 230 habitants[Note 5], en évolution de −2,15 % par rapport à 2016 (Nord : +0,51 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

    Davantage d’informations - ...
    2021 2022 - - - - - - -
    2 2562 230-------
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    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2252 1752 2692 2282 3622 5142 5062 5122 639
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5662 6232 5822 6202 7022 5162 5492 4412 414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3692 4002 3161 6521 8521 7701 7031 6591 763
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 7381 6551 7361 9792 0002 1142 1552 1402 279
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 149 hommes pour 1 165 femmes, soit un taux de 50,35 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Davantage d’informations Hommes, Classe d’âge ...
    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    2,1 
    5,5 
    75-89 ans
    7,8 
    15,5 
    60-74 ans
    16,3 
    20,3 
    45-59 ans
    19,4 
    21,7 
    30-44 ans
    20,8 
    15,9 
    15-29 ans
    15,5 
    20,5 
    0-14 ans
    18,1 
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    Davantage d’informations Hommes, Classe d’âge ...
    Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,4 
    5,3 
    75-89 ans
    8,1 
    14,8 
    60-74 ans
    16,2 
    19,1 
    45-59 ans
    18,4 
    19,5 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,2 
    0-14 ans
    18 
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    Lieux et monuments

    Résumé
    Contexte

    L'église Saint-Pierre-Saint-Paul

    L'ancienne église

    C'était une église-halle construite en 1550 et entourée de son cimetière. On ne dispose pas d'information sur l'édifice médiéval. Selon Béhague, “elle était belle et spacieuse, avec ses trois vastes nefs aux voûtes élevées et sa tour massive qui la flanquait à l'ouest ”[42].

    Le mobilier (détruit en 1918)

    • Maître-Autel en bois doré de style Louis XV, retable de style renaissance avec la transfiguration de De Coninck
    • Tribune et buffet d'orgue en style Louis XVI.
    • Confessionnaux de style renaissance.
    • Chaire d'époque Louis XV en chêne.
    • Fonts en marbre, style Louis XVI.
    • Christ en bronze des missions de 1891 : unique objet retrouvé dans les décombres.
    • Vitraux de 1772, 1865 et 1879.

    Vicissitudes

    •  : Mise à sac par les protestants.
    • 1793 : célébrations des fêtes républicaines
    •  : mise en vente de l'église à Douai et adjugée à un citoyen Lillois.
    •  : le contenu de l'église est brûlé dans le cimetière.
    • 1914 : sert d'infirmerie aux allemands
    • 1916 : destruction du clocher par la foudre
    •  : destruction totale de l'église (et du village)

    Les églises provisoires

    • La cuisine de la ferme de M. Vaneufville. La messe y fut célébrée le au . Ce fut la première paroisse du décanat de Bailleul à reprendre sa vie religieuse[43]. On y célébra 3 mariages et 6 funérailles. Une plaque commémore cette utilisation.
    • Baraquement provisoire en tôles, du jusqu'en . Une cloche y est installée le .

    La nouvelle église

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    Meteren l'église Saint Martin
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    Portail de l'église.

    La première pierre en est posée . Elle est construite sous la direction des architectes Louis Quételart et André Pavlovsky. Bénie le , elle est de style néo-byzantin.

     : baptême de la première cloche Omérine Léon qui sonne lesol, d'un poids de 660 kg  : baptême de Marie Renée qui sonne le fa et pèse 900 kg et de Hélène André qui tire le et pèse 1 270 kg.

    • Aménagement de l'église
      • Maître-autel de Maurice Ringot, 1928
      • La chaire représentant les quatre évangélistes a été démontée. la cuve est devenue le nouvel autel alors que l'abat-voix est devenu l'ambon. De même que le banc de communion, le chemin de croix et les fonts baptismaux, ils sont de M. Ringot.
      • Le crucifix de la nef est le seul vestige de l'ancienne église
      • L'orgue de la tribune est factice. Le décor d'anges et de sainte Cécile est en sgraffite. L'orgue a été réalisé par les frères Coupleux, facteurs à Lille, en 1929 ; le décor de faïence a été réalisé par la S. A. Fourmaintraux et Delassus de Desvres (62)[44].
    • Le décor peint
      Le chœur est décoré d'une fresque sur toile marouflée représentant de gauche à droite :
      sainte Marguerite-Marie Alacoque, saint François d'Assise, un saint évêque, saint Pierre, la vierge en pleurs, le christ crucifié, saint Jean, saint Paul, saint Louis, saint ? et sainte Thérèse. Le tout est surmonté de l'inscription Redemisti nos domine Deus in sanguine tuo". L'anecdote raconte qu'un vicaire de l'époque monta sur une échelle pour retoucher le regard du Christ, trop sévère à son goût.
    • Les vitraux
      Ils sont exécutés en 1960-61 par la maison Delannoy de Lille d'après les cartons originaux de la Maison Turpin. On y rajouta cependant une légende. Les douze paires mettent en parallèle des scènes de l'ancien et du nouveau testament. On trouve entre autres :
      • la guérison/la rédemption
      • Isaac chargé/Jésus surchargé
      • Joseph vendu/Jésus trahi
      • Jonas vaincu/Jésus vainqueur
      • Alléluia/Hosanna
      • Division/Unité
      • Église éternelle/Pierre premier pape
      • Terre promise/Sauveur donné
      • La création/La nativité
      • Révélation aux Juifs/Révélation aux nations
      • Pain et Vin/ Corps et Sang
    • Cette église est l'un des six clochers de la paroisse Saint-Benoît-des-Monts.

    Monuments

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    Le monument aux morts.
    • Le monument aux morts, sculpté par Camille Debert, inauguré le . Il porte l'inscription À nos héros
    • Mausolée du Lieutenant Atwood MORRIS décédé le . Après la guerre, sa famille demande que son corps ne soit pas transféré vers un cimetière militaire. Ils achètent le terrain en 1920. Ils y font construire un mausolée en forme de pagode sur lequel figure l'inscription In loving memory of Anthony George Atwood Morris lieutenant the King's Own Royal Lancaster Regiment born may 19th 1887, Killed in action oct 13th 1914 at Meteren in the Great War with Germany. Il faisait partie du King's Own Royal Regiment (Lancaster) (en)
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    Le chartil de Meteren reconstitué au musée de Plein air de Villeneuve-d'Ascq.-
    • Le chartil de Méteren, datant du XVIIe siècle, il était la dernière partie d'une hosfède. Une imposante et exceptionnelle toiture de chaume à pans coupés à la frisonne compose le toit s'élevant 6,40 mètres. L'ossature est composée d'un mur en torchis, composé de chaque côté de quatre poteaux placés sur la sablière basse, reposant sur un mur gouttereau en briques.

    Chapelles

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    Chapelle dédiée au curé d'Ars.
    • chapelle dédiée à Jean-Marie Vianney, curé d'Ars, première chapelle dédiée à ce vocable dans le diocèse de Lille, construite en 1932 à la demande de la famille Deman.

    Située sur la RN42, route d'Hazebrouck à l'entrée de Strazeele (face au château d'eau), située à l'entrée de l'ancienne ferme Boddaert sur le territoire communal de Méteren. Architecture flamande remarquable. Entrepreneur-architecte Gaston Ringot de Malo-les-Bains[45]. Bénie par Mgr Georges Jansoone, en présence de l'abbé Joseph Woets Monument commémoratif de marbre blanc. Dernière messe "officielle" célébrée le pour le bicentenaire de la naissance du Curé d'Ars par l'abbé Jean Coquant.

    Hoog Weg. attestée en 1856, reconstruite à l'identique après 1918. Inscription en flamand Waxht te verzetten uwoen voet. Eer gy Maria Carmelia groet soit Attends de déplacer ton pied Honores-tu bien Marie du Carmel par un salut?[46]

    • Chapelle Notre-Dame de Lourdes
      • rue Neuve, reconstruite en 1918 Cœur immaculé de Marie PPN[47]
      • Zandstraeye (appelée aussi chapelle Scheercousse), 1875. L'intérieur est une grotte en grès ferrugineux.
      • rue Vyverput, 1880, restaurée en 1930.
      • Chemin de Merris, 1968. Il remplace une ancienne chapelle (1880) qui possédait un dôme à quatre pans.
    • Chapelle Notre-Dame-des-Victoires

    Water Straete. Existait avant 1914 et détruite pendant le conflit. Mais une suite de malheur étant survenue, elle fut reconstruite en 1930, sur le conseil des père Carmes d'Ypres[48].

    • Chapelle Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception
      • Rue de la fontaine, après 1918
      • chemin de Merris, 1925. Demandée pour que cesse une suite de malheurs (décès, accidents)[49]
    • Chapelle Notre-Dame-de-Consolation

    Saint Omaers straete, 1890

    • Chapelle du Sacré-Cœur

    Rue Neuve

    • Chapelle Sainte-Thérèse

    Chemin Goddeloozenhouck (coin des athées), restaurée en 1984. Anciennement dédiée à Notre-Dame-du-Bon-Secours[46].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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    Notes et références

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