Femme du libraire-imprimeur Gabriel-André Dentu, Mélanie Dentu s’est fait une réputation, dans le monde des arts, comme auteure et compositrice d’un grand nombre de romances et chants d'actualité[3], dont plusieurs sont devenues très populaires[4]. On cite notamment la Piémontaise[5], chant de guerre qu'elle a composé, en 1859, sur des paroles d’Auguste Barbier[6], à l’occasion de la guerre d’Italie[7] et qui fit le tour de l’Italie en 1859 et 1860[8].
Victor Champier et G.-Roger Sandoz, Le Palais-Royal d’après des documents inédits: 1629-1900, t.2, Paris, Société de propagation des livres d’art, , 220p. (lire en ligne), p.186.
Parti social français, «M. Édouard Dentu a eu le malheur…», Le Petit Journal, Paris; Clermont-Ferrand; Pau, [s.n.], no4348, , p.3 (lire en ligne).
Victor Champier et G.-Roger Sandoz, Le Palais-Royal d’après des documents inédits: 1629-1900, t.2, Paris, Société de propagation des livres d’art, , 220p. (lire en ligne), p.186.
Ernest Glaeser, Biographie nationale des contemporains, t.1, Paris, Glaeser et Cie, , 838p. (lire en ligne), p.175.
Edmond Werdet, De la librairie française: Son passé, son présent, son avenir, Paris, E. Dentu, , 394p. (lire en ligne), p.190.
Gustave Vapereau, Dictionnaire universel des contemporains, Paris, Hachette et Cie, , 1892p. (lire en ligne), p.552.
Parti social français, «M. Édouard Dentu a eu le malheur…», Le Petit Journal, Paris; Clermont-Ferrand; Pau, [s.n.], no4348, , p.3 (lire en ligne).
Georges d’Heylli et Damase Jouaust, Gazette anecdotique, littéraire, artistique, t.I, Paris, Librairie des bibliophiles, (lire en ligne), p.242.