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officier et écuyer français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Louis-Anselme-François Pasqueraye du Rouzay, comte du Rouzay, né le à Angers paroisse de Saint-Michel-La-Palud, mort le à Angers, était un officier français, écuyer, et émigré en 1789.
| Comte |
|---|
| Naissance | |
|---|---|
| Décès |
(à 73 ans) Angers |
| Nationalité | |
| Activité |
Maire de Saint-Jean-des-Mauvrets 1808-1815 et 1816-1830 |
| Propriétaire de | |
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| Grade militaire | |
| Conflit | |
| Distinction |
Chevalier de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis |
Fils de Marie-Madeleine-Renée de Mailly-Montjean[1] et d'Anselme-Étienne Pasqueraye du Rouzay (1728-1785), seigneur de Saint-Jean-des-Mauvrets, de Bois-Joly à Cuillé, de Chauvigné à Denazé, secrétaire du roi de la grande Chancellerie de France[2],[3].
En 1787, il est officier de cavalerie aux Chasseurs des Alpes à cheval[4],[5], il vote avec la noblesse en 1789[1].
À la Révolution il émigre[6]. En 1794, il est sergent dans le régiment d'Autichamp de l'armée des princes[7].
Amnistié, il prête le serment de fidélité à son retour[8] en France. Il épouse en 1806, Aimée Vollaige de Vaugirault[6](1778-1826).
En , il est l'un des trois angevins qui ont fait les premiers arborer le drapeau blanc royal à Angers, avec le marquis de Senonnes et le comte d'Autichamp[9].
Par lettres patentes du , le Roi Charles X érigea en majorat, en sa faveur, le château de Saint-Jean-des-Mauvrets et ses dépendances, et à ce majorat fut attaché le titre de comte[5],[10],[11].
En 1832, pendant l'insurrection vendéenne menée par la duchesse du Berry, le château du comte du Rouzay est « fouillé » par la Garde nationale du bourg de Sceaux qui étaient à la recherche de chouans dans la région[12].
Maire de la commune de Saint-Jean-des-Mauvrets de 1808 aux Cent-Jours, puis de 1816 à 1830. Membre du conseil d'arrondissement d'Angers de 1816 à 1827[13].Conseiller général de Maine-et-Loire en 1829[14]
Issu de la famille Pasqueraye du Rouzay, branche de l'ancienne famille angevine Pasqueraye[17](ou Pasqueraie). La seigneurie et le château de Saint-Jean-des-Mauvrets est attribué par succession en 1735 à Pierre Pasqueraye du Rouzai, conseiller du roi en l'Élection d'Angers, époux de Renée Bucher du Cerisier[18], grand-père de François Pasqueraye du Rouzay[19].
« D'or a la bande d'azur accompagnée de six étoiles d'argent dont trois adextrées aussi posées en bande et les trois senestrées posées deux et une »[20]
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