Les bornes, au lieu d'avoir 6 boutons comme de coutume de nos jours, employaient deux boutons analogiques: la pression sur le bouton dictait la puissance du coup du personnage. Le système fut abandonné pour Street Fighter II en raison des abus des joueurs, qui montaient sur les bornes pour frapper les boutons du pied...
Seuls Ryu et Ken sont sélectionnables dans cet opus, pour les joueurs 1 et 2 respectivement.
Le jeu est publié sur PC-Engine sous le titre de Fighting Street[10],[11].
Le studio U.S. Gold s'occupe du portage de Street Fighter II pour les versions ordinateurs[14].
Street Fighter II s'est vendu à 7 100 000 d'exemplaires dans le monde, faisant du second opus le mieux vendu de la franchise devant Street Fighter V[° 1].
C'est dans ce titre que Balrog, Vega, Sagat et M. Bison font leurs débuts dans les manettes des joueurs: ils étaient non-sélectionnables dans la mouture d'origine de Street Fighter II.
La version Mega Drive est intitulée Street Fighter II' Plus: Champion Edition au Japon[21] et Street Fighter II': Special Champion Edition dans le reste du monde[19],[22].
Le jeu est porté sur Super Nintendo sous le titre de Street Fighter II' Turbo: Hyper Fighting[23],[24].
Le jeu fut développé afin de contrer la multiplication des hacks effectués sur la carte de Champion Edition, et à ce titre comportait un sous-titre et des palettes de couleurs gardées secrètes. Il comporte également de nombreux équilibrages.
C'est dans ce titre que Chun-Li a reçue la capacité de produire des boules de feu, et Dhalsim de se téléporter.
Le jeu est publié en 1994 sur la console FM Towns Marty, exclusive au Japon[27], et pour laquelle fût développée une bande son exclusivement arrangée. C'est celle-ci que l'on retrouve dans le portage PlayStation (Street Fighter Collection 2 ) notamment, puis dans Hyper et Ultra Street Fighter II postérieurement.
Titre sorti à l'occasion du quinzième anniversaire de la franchise.
Ce titre fusionne, sur le moteur de Super Turbo, l'ensemble des différentes moutures des 17 personnages originaux: on peut s'y faire affronter le Blanka de The World Warrior contre le Dee Jay de Super Turbo, par exemple. Cela permet des choix stratégiques: certaines moutures antérieures des personnages ont moins de coups que leurs versions améliorées, mais faisaient plus de dégâts avant les équilibrages.
Evil Ryu et Violent Ken font leur retour dans ce titre, portant le roster final à 19 personnages.
Ce titre reprend les graphismes améliorés développées par le HD Remix et la bande son développée pour la version 3DO / FM Towns. Graphismes et audio pouvant être remplacés par les thèmes et graphismes originaux, au choix du joueur.
Version finale de Street Fighter II, c'est pourtant la seule à ne jamais être sortie sur bornes d'arcade.
Le titre a été porté sur Super Nintendo[35] en remerciement pour les ventes exponentielles de Street Fighter II 5 ans plus tôt.
Street Fighter Alpha 2 inclut un nouveau transfuge de la série Final Fight, en l'occurence Rolento Schugerg[33], ainsi qu'un nouveau revenant de Street Fighter I: Gen.
Street Fighter Alpha 3 inclut un nouveau personnage de la série Final Fight: Maki Genryusai, ainsi qu'un nouveau revenant de Street fighter I, Eagle. Tous deux sont cependant exclusifs aux versions portables du jeu[39]. La version PlayStation Portable est baptisée Street Fighter Alpha 3 Max[40].
Street Fighter Zero 3 est le titre japonais du jeu, le dernier Street Fighter à être publié sur Sega Saturn, en l'occurence uniquement au Japon[37].
Street Fighter Zero 3 est publié dans un premier temps en 1999 sur Dreamcast au Japon sous le titre de Street Fighter Zero 3: Saikyo-Ryu Dojo[38] puis en 2001 sous le titre de Street Fighter Zero 3: Saikyo-Ryu Dojo for Matching Service, qui propose un mode en ligne[41].
Street Fighter Alpha 3 (hormis la série EX) fut le premier titre de la série à ne reprendre aucun des thèmes musicaux emblématiques de la franchise, au profit de thèmes inédits.
À l'exception de Ryu et de Ken, Street Fighter III ne comporte que des personnages originaux.
Le jeu est porté sur Dreamcast sous forme de compilation intitulée Street Fighter III W Impact au Japon, elle contient les 2 premiers jeux Street Fighter III[42].
Street Fighter IV réintègre certains personnages provenant de Street Fighter II, mais aucun de Street Fighter III. Yoshinori Ono a exprimé ses regrets concernant la grande majorité des nouveaux combattants qui composait le roster du troisième opus[46].
Crimson Viper et Abel ont fait leurs débuts dans ce titre. Abel est le second français de la franchise.
Rééquilibrage du jeu, dix combattants ont été rajoutés ainsi que les «Bonus Stages», qui marquent leur retour depuis Street Fighter EX[48].
C'est dans ce titre que Juri Han a fait ses débuts.
Dudley, Ibuki et Makoto, sont les trois premiers personnages de Street Fighter III à rejoindre la série Street Fighter IV, dans ce titre. Ils seront rejoints par Yun et Yang dans la moûture ultérieure du titre.
Street Fighter V utilise le modèle économique du season pass: Le titre inclut cinq saisons, avec six personnages en DLC pour chaque saison et cinq pour la dernière saison[° 2].
Street Fighter V s'est écoulé à 7 100 000 exemplaires vendus à travers le monde[° 1], soit plus que le légendaire Street Fighter II: The World Warrior sur Super Nintendo.
Premier crossover de Street Fighter avec l'univers des Marvel Comics, le jeu inclut 9 personnages de chaque franchise, soit un total de 18 personnages[52].
La version Sega Saturn, exclusive au Japon, nécessite une cartouche de RAM de 4Mb pour que le jeu fonctionne[51].
La version PlayStation est amputée de quelques fonctionnalités et diverses animations, notamment le combat par équipe, retiré en raison des limitations techniques de la PlayStation[53].
Dans la version japonaise du jeu, le personnage de Norimaro est basé sur le comédien Noritake Kinashi(en)[56].
Comme pour X-Men vs. Street Fighter, Marvel Super Heroes vs. Street Fighter est publié sur Sega Saturn uniquement au Japon. La version PlayStation, quant à elle, est publiée deux années après la sortie Arcade et une année après la version Sega Saturn[57].
Le jeu est mis à jour et est publié sous le titre de Capcom vs. SNK: Millennium Fight 2000 Pro[69], cette version est également portée sur PlayStation[70].