Les Cahiers d'Esther

série de bande dessinée De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Les Cahiers d'Esther est une série de bande dessinée française de Riad Sattouf, prépubliée par L'Obs à partir de 2015[1] puis éditée en album chez Allary Éditions à partir de l'année suivante.

Faits en bref Série, Auteur ...
Les Cahiers d'Esther
Série
Auteur Riad Sattouf
Scénario Riad Sattouf
Dessin Riad Sattouf

Thèmes Vie quotidienne
Personnages principaux Esther et sa famille
Lieu de l’action France
Époque de l’action 2014 à 2023 (un tome par an)

Pays France
Langue originale Français
Éditeur Allary Éditions
Première publication
Nombre d’albums 9

Prépublication L'Obs
Adaptations Les Cahiers d'Esther (série télévisée d'animation)
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Historique

S'inspirant de la fille d'un couple d’amis, Riad Sattouf raconte, dans des planches bichromiques[2], la vie quotidienne de la jeune Esther[3], âgée de 9 ans au début du premier tome. Sattouf prévoit un album par an jusqu'aux 18 ans de l'héroïne[2],[4].

En 2018, la série est adaptée à la télévision par Canal+.

Publication

Résumé
Contexte

Cette série est d'abord prépubliée dans le magazine L'Obs puis les planches de l'année sont reprises en album chez Allary Éditions.

Elle est traduite en dix langues[5].

Albums

Ventes

En 2024, la série s'est vendue à plus de 2 millions d'exemplaires[7].

Distinction

Adaptation en série télévisée

Les Cahiers d'Esther est une adaptation de l’œuvre sous forme de série télévisée[8]. Composée de cinquante épisodes de deux minutes diffusés sur Canal+, la série est réalisée par Riad Sattouf et Mathias Varin, scénarisée toujours par Riad Sattouf mais avec Dorothée Lachaud et produite par Folimage, Les Compagnons du cinéma et Les Films du futur[9]. Il est prévu d'avoir une saison par album (soit huit saisons)[10],[11], la première reprenant l'Histoire de mes dix ans[12]. Il s'agit de la première réalisation de Sattouf dans le dessin animé[13].

Ce sont des enfants qui doublent Esther et ses camarades, pour « qu'ils grandissent avec les personnages », selon les mots de Riad Sattouf[8].

Notes et références

Voir aussi

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