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peintre, sculpteur et architecte français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
José Charlet, de son vrai nom Joseph Charlet[1], est un architecte, artiste peintre, sculpteur, graveur et lithographe français, né le à Bourg-en-Bresse et mort le à Paris 5e[1].
Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Joseph Louis Gaston Charlet |
Nationalité | |
Activités | |
Autres activités |
Professeur d'architecture |
Formation | |
Maître | |
Mouvement |
Art figuratif (peinture) et abstrait (sculpture et gravure) |
Conjoint |
Suzanne Hoybel (1920-2007) |
José Charlet naît à Bourg-en-Bresse du mariage de Gaston René Joseph Charlet, industriel, et d'Élisabeth Laure Bobillier-Chaumont. Après des études secondaires au lycée Janson-de-Sailly à Paris[2], il est de 1937 à 1943 élève des architectes Georges Gromort et Louis Arretche à l'École nationale supérieure des beaux-arts, en même temps qu'il fréquente l'Institut d'urbanisme de Paris. Après l'obtention de son diplôme d'architecte en juin 1942 (181e promotion) et son admission aux Hautes Études d'architecture en novembre 1943[2], il effectue en 1945-1946 un voyage d'étude de la polychromie aux États-Unis[3].
Débutant l'expérience de la gravure en 1944, il aura durablement coutume d'accompagner de la réalisation d'une eau-forte les événements marquants de sa vie (naissances, invitations, vernissages, vœux de nouvel an…)[4].
En 1951, alors qu'il peint dans un registre figuratif, Honorio García Condoy l'encourage à aborder la sculpture qui deviendra rapidement sa discipline majeure[5]. Il travaille alors la pierre, le marbre, le bronze, et surtout le bois[6].
Installé avec son épouse Suzanne Hoybel (Sotteville-les-Rouen 1920 - Saint-Thomé 2007) - elle aussi architecte - au 37, rue Henri-Barbusse dans le 5e arrondissement de Paris, il acquiert une résidence à Saint-Thomé dans l'Ardèche qu'il a découvert à la faveur d'un séjour dans le village voisin d'Alba-la-Romaine, où il se lie d'amitié avec Kees van Willigen et Ginés Parra[4] et d'où il épaulera activement, en septembre 1972, la création, à l'initiative d'Hélène Argillies, Norbert Chautard et Pierre Poupin, d'un lieu d'enseignement hors les murs, le Centre de stages des Cévennes qui se revendiquera « le théâtre d'une expérience originale autour de l'architecture, de l'aménagement du territoire et de l'écologie »[7].
Il est conférencier chargé du cours d'esthétique comparée à la Schola Cantorum de Paris de 1953 à 1956, professeur d'histoire critique de l'architecture contemporaine à l'École nationale supérieure des beaux-arts en 1967-1968[8], professeur à l'Unité d'étude et de recherches d'arts plastiques de 1969 à 1972[6], professeur invité au Georgia Institute of Technology à Atlanta en 1974[2].
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