Elle publie une série de douze cartes postales sur le thème des jeux d'enfants qu'elle signe Jal, et illustre un roman historique de Jean Drault, La Conspiration de Quillebœuf (Jouve et Cie, 1912)[2].
Autoportrait au chapeau vert, 1909, huile sur toile[4];
Méditation, peinture sur porcelaine de Philadelphie par Bourotte-François d'après le médaillon lithographié en noir et blanc de Jane Atché présenté au Salon de 1897[4];
Rêverie, 1909, peinture sur porcelaine de Philadelphie par Evalina Guenthoer d'après le médaillon lithographié en noir et blanc de Jane Atché présenté au Salon de 1897, pendant du précédent, tous deux édités en couleur l'année suivante[4].
Rabastens, musée du Pays rabastinois, rétrospective de l'œuvre de Jane Atché, 2008-2009. Ce musée conserve et expose depuis lors une grande partie de son œuvre.
M. Guy Ahlsell de Toulza, «Jane Atché article toulousaine au temps de l'art nouveau», Mémoires de l'académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse, , p.136
Bibliographie
Mathieu Arnal, Ces Toulousains qui ont fait l'Histoire, Villeveyrac (Hérault), Le Papillon Rouge, , 263p. (ISBN9782490379118), «Jane Atché la première affichiste», p.25-29
«Jane Atché, l'hommage de Rabastens», La Dépêche, (en ligne).
Charlotte Foucher Zarmanian, Créatrices en 1900: Femmes artistes en France dans les milieux symbolistes. Paris: Mare & Martin Arts, 2016.
Béatrice Didier, Antoinette Fouque, Mireille Calle-Gruber, Dictionnaire universel des Créatrices, Paris, Des femmes-Antoinette Fouque, , pp. 301-302
L.Barlangue, «Etre femme et artiste dans le Midi Toulousain: Les femmes et les arts, 1890-1940», Le Patrimoine :Histoire, culture et création en Occitanie, no61, , pp; 56-63
Emilie Zitsia. Compte rendu Créatrices en 1900. In «Comptes rendus», Romantisme, vol. 175, no. 1, 2017, pp. 128-144.
G. AHLSELL DE TOULZA. Jane Atché, une artiste toulousaine au temps de l’art nouveau. In: Mémoire de l’académie des sciences, inscriptions et belles lettres de Toulouse. Volume 174; 19ème série. Toulouse: Académie des Sciences de Toulouse, 2012, pp.135,140 en ligne sur Rosalis