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Ne doit pas être confondu avec Georg von Kameke (général, 1817).
Georg Christian Friedrich von Kameke (né le à Gut Freudenthal et mort le à Stettin) est un generalleutnant prussien.
Georg von Kameke
| Naissance | |
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| Décès | |
| Activité |
Chef militaire |
| Enfant |
Origine
Ses parents sont le capitaine prussien Heinrich Arnold Friedrich Wilhelm von Kameke (de) (né le et mort le ) et son épouse Friederike Augustine, née Christgan (née le et mort le ).
Carrière militaire
Kameke étudie dans diverses écoles où son père est en poste, à Heiligenbeil, Königsberg et Francfort-sur-l'Oder. Le , il rejoint le 1er régiment de dragons « von Wylich und Lottum (de) » de l'armée prussienne en tant que Junker. Là, il est promu le enseigne et participe à la campagne de Hollande la même année.
Le , il devient sous-lieutenant. Pendant la guerre de la première coalition, Kameke combat dans la bataille de Valmy, les batailles de Pirmasens et Kaiserslautern et les batailles de Stromberg, Deux-Ponts et Hermersberg. Dans une escarmouche à Kettrichhof, il bat les attaquants français, capture deux canons et fait quelques prisonniers. Pour cela, Kameke reçoit le l'ordre Pour le Mérite. Il n'a que 23 ans à l'époque. À la fin de , il est promu capitaine d'état-major. Pendant la guerre de la quatrième coalition, il combat dans la bataille près de Ratzebourg et est capturé avec la reddition à Ratekau, mais est échangé à nouveau. Il est ensuite grièvement blessé dans la bataille près de Dirschau, mais peut se démarquer à nouveau dans la défense de Dantzig. Le , il est alors capitaine et chef d'escadron du régiment de dragons brandebourgeois. Il est promu major le et combat la même année dans les batailles à Gräfenthal, Wollgrund et Garossenkrug. Le , il est nommé chef d'escadron du régiment de dragons lituanien et le puis est transféré au 2e régiment de dragons prussien-occidental.
Pendant la campagne d'Allemagne, Kameke combat dans les batailles de Lützen et Bautzen, où il reçoit la Croix de fer de 2e classe Il combat également à Gross Beeren, Dennewitz (où il reçoit la Croix de fer de 1re classe), Leipzig, Laon et les batailles de Danigkow, Colditz, Königswartha, Arnheim, Crespy et West-Malen. À cette époque, il est promu le lieutenant-colonel et le commandant du régiment de dragons «reine». En 1815, il combat à Ligny, où son cheval est abattu, et à Waterloo, où il reçoit l'Ordre de Sainte-Anne de 2e classe. Le , il est promu colonel.
Après la guerre, il est nommé le commandant de la 3e Brigade de la Landwehr et s'agrège au régiment. Le , il reçoit la permission de porter l'uniforme du 2e régiment de cuirassiers formé à partir du régiment de dragons "reine". Le , il est promu major général avec un brevet daté du . Récompensé par l'Ordre de l'Aigle rouge de 2e classe avec des feuilles de chêne, Kameke est libéré le en tant que Generalleutnant avec une pension de 2700 thalers. Il décède d'une hydropisie de la poitrine le à Stettin
Famille
Il se marie le à Friedeberg avec Henriette Luise Karoline Lehmann (née le et morte le ). Le couple a les enfants suivants:
- Georg Arnold Karl (181-1893), ministre prussien de la Guerre marié en 1863 avec Helene Emilie Charlotte von Oelsen (née le et morte le )
- Hermann Friedrich Wilhelm (de) (1819-1889), général d'infanterie prussien
- Alexander Paul August Theodor (né le et mort le ), colonel, décède près de Vionville en tant que commandant du 91e régiment d'infanterie (de) marié avec Marie Wächter (née le )
Sa veuve reçoit une subvention royale à sa pension de veuve de 500 thalers.
- Beiträge zur Geschichte der Familie von Kameke. Blatt III. Cordeshagen, Stammbaum.
- Gothaisches genealogisches Taschenbuch der adeligen Häuser. Justus Perthes, Gotha 1901, Erster Jahrgang, S. 474.
- Jahrbuch des Deutschen Adels. Band 2, 1898, S. 175.
- Neuer Nekrolog der Deutschen 1839. Band 15, Teil 2, S. 907ff.
- Militär-Wochenblatt. Band 23, S. 47f.
- Kurt von Priesdorff: Soldatisches Führertum. Band 4, Hanseatische Verlagsanstalt Hamburg, o. O. [Hamburg], o. J. [1937], DNB 367632799, S. 416–418, Nr. 1370.
- Georg Christian Friedrich von Kameke à schlossarchiv.de
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