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violoncelliste français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Gérard Hekking, né le à Nancy et mort le à Paris[1], est un violoncelliste français, cousin d'André Hekking et neveu d'Anton Hekking, eux aussi violoncellistes.
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Gérard Prosper Hekking |
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| Genre artistique |
Gérard Hekking est né à Nancy. Il est premier violoncelle de l'Orchestre du Concertgebouw de 1903 à 1914[2]. En 1912, Alphons Diepenbrock compose sa Berceuse (Le Seigneur a dit à son enfant) pour lui et sa femme, une soprano. Parmi les œuvres créées par Gérard Hekking figurent les première et deuxième sonates pour violoncelle de Gabriel Fauré[3],[4]. Le violoncelliste compose aussi quelques œuvres, dont Villageoise, Joujou mécanique, Danse pour les Sakharoff et Danse campagnarde, toutes pour violoncelle et piano.
De 1927 à sa mort, Gérard Hekking enseigne le violoncelle au Conservatoire de Paris. Parmi ses élèves figurent Pierre Fournier, Maurice Gendron et Paul Tortelier[5]. Il meurt à Paris en 1942, à l'âge de 62 ans. Il était le cousin d'André Hekking et le neveu d'Anton Hekking, tous deux violoncellistes.
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