Francesco Alidosi
cardinal de l'Église catholique romaine De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Francesco Alidosi, dit le cardinal de Pavie (né vers à Castel del Rio, en Émilie-Romagne, alors dans les États pontificaux, et mort à Ravenne le ) est un cardinal italien du XVIe siècle.
| Francesco Alidosi | |
;_Jupiter_and_Signs_of_the_Zodiac_(reverse)_MET_1274r.jpg) Portrait du Cardinal Francesco degli Alidosi sur une médaille | |
| Biographie | |
|---|---|
| Naissance | Castel del Rio, États pontificaux |
| Père | Giovanni Alidosi (d) |
| Décès | Ravenne, États pontificaux |
| Cardinal de l'Église catholique | |
| Créé cardinal |
par le pape Jules II |
| Titre cardinalice | Cardinal-diacre de Ss. Nereo ed Achilleo Cardinal-prêtre de S. Cecilia |
| Évêque de l'Église catholique | |
| Ordination épiscopale | |
| Administrateur de Bologne | |
| Administrateur de León | |
| Évêque de Pavie | |
| Évêque de Mileto | |
| .html (en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | |
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Biographie
Résumé
Contexte
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Francesco Alidosi est intime avec le pape Sixte IV et est secrétaire de Jules II, trésorier général de la Sainte-Église et abbé commendataire de S. Salvatore di Spungia. En , il est nommé évêque de Mileto et en il est transféré à Pavie.
Le pape Jules II le crée cardinal lors du consistoire du . Le cardinal Alidosi est l'intermédiaire entre Michel-Ange et le pape Jules II et patronne Érasme.
Mgr Alidosi est légat à Viterbe, dans la province du Patrimoine et à Bologne et en Romagne, où il est connu pour ses cruautés. Il fait notamment étrangler des membres de la famille Bentivoglio, qui se sont révoltés contre le pape, mais Alidosi est toujours soutenu par Jules II.
Le cardinal Alidosi est nommé administrateur de León, en Espagne, en et en il devient évêque de Crémone, désigné par le roi de France, et cela sans l'approbation du pape.
Le pape le nomme administrateur de Bologne en , mais finalement le peuple bolonais et le duc d'Urbino se révoltent et il est assassiné à Ravenne le par François Marie Ier della Rovere, qui l'accusait auprès du pape d'être responsable de la prise de Bologne par les Français. Della Rovere est disculpé après avoir prouvé la trahison du cardinal.
Notes et références
Annexes
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