Il est rapidement envoyé en Russie, d'où les jésuites avaient été expulsés en 1820[2], et enseigne la théologie à l'Institut Saint-Thomas d'Aquin de Moscou entre 1992 et 1995[1]. De retour à Paris, il soutient une thèse de doctorat en théologie (2000) et devient professeur au Centre Sèvres (Facultés jésuites de Paris), il a été doyen de la faculté de théologie et titulaire de la chaire Teilhard de Chardin.
Il est depuis rédacteur en chef de la revue Études, à laquelle il collaborait depuis une dizaine d'années[1].
Lettre encyclique du pape François, Loué sois-tu! Laudato si', édition présentée et commentée sous la direction des jésuites du CERAS, introduction, annotation et conclusion par un guide de lecture du chapitre 2, «L'évangile de la Création»
Jean Bastaire, l'écologiste, ouvrage collectif dirigé par Fabien Révol et François Euvé, édition Salvator, 2023[7].
Prier 15 jours avec Hélène et Jean Bastaire, ouvrage collectif dirigé par François Euvé, édition nouvelle cité, 2023.
Préfaces
Guy Lale-Gérard, Michel Euvé et Florence Curval, La Ville européenne au 21e siècle. En finir avec la ville empirique, la Charte d’Athènes et la fracture sociale, Paris, L’Harmattan, 2019 (ISBN978-2343184692)
Nicole Timbal, Pierre Teilhard de Chardin. Un homme de Dieu au cœur de la matière, Fidélité, 2015 (ISBN978-2873565824)
Après la suppression de la Compagnie de Jésus en 1762, l'ordre survit notamment grâce à l'appui de Catherine II, mais pendant le règne d'Alexandre Ier, il finit par devenir indésirable aux yeux de la classe politique et est finalement expulsé en 1820.
Christophe Henning, ««La Science, l’épreuve de Dieu?», de François Euvé: le savoir face au mystère du monde», La Croix, (ISSN0242-6056, lire en ligne, consulté le )
Guy Bruit, «François Euvé, Crainte et tremblement. Une histoire du péché, 2010», Raison présente, vol.175, no1, , p.137–139 (lire en ligne, consulté le )