- : Préfet des Deux-Sèvres sous la Seconde Restauration. Royaliste, il y fait supprimer les arbres de la liberté[4]. Il est révoqué après les élections de 1816 pendant l'épuration de préfets sous l'influence d'Élie Decazes. Il écrit alors à sa défense le Mémoire de M. de Curzay, ancien préfet du département des Deux-Sèvres[5]. Après 5 ans en retraite, il est en 1822 remis en service active par Jacques-Joseph Corbière[6].
- : Préfet de la Gironde. Le , pendant la Révolution de Juillet, en mesure de censure, il fait saisir les journaux libéraux bordelais. La population s'insurge, détruit les imprimeries bordelais des journaux royalistes, la maison du préfet est envahi et le préfet est grièvement blessé[7],[8],[9],[10].
Parcours politique
Parallèlement, il est maire de Curzay (d'avant 1810 jusqu'après 1815) et député de la Vienne de 1820 à 1830[11]. Député, il publie Opinion sur la proposition tendante à demander le changement du ministère, Paris, imp. de Boucher, 1820; 1821.
François-Boceslas-Casimir Duval de Chassenon, Vte de Curzay, Mémoire de M. de Curzay, ancien préfet du département des Deux-Sèvres, 1817 [lire en ligne]