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personnalité politique française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Étienne Frédéric Auguste, vicomte Portalis, né le à Berlin (royaume de Prusse) et mort le à Passy, est un magistrat et homme politique français.
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Jean-Étienne-Marie Portalis (grand-père) |
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Frédéric Portalis étudie le droit et se fait recevoir comme avocat. Il plaide quelque temps avec talent, puis il entre dans la magistrature où il devient conseiller à la cour d'appel de Paris en 1839.
Élu[1], le député du 2e collège du Var (Toulon), contre M. de Pontavès[2], il siège au centre droit et vote avec la majorité conservatrice.
Il n'est pas réélu en 1837, et échoue[3] encore le , contre Alphonse Denis[4],[5], puis le [6], contre le député sortant M. Denis, et M. Sala. Il ne regagne[7] son siège que le , mais meurt presque aussitôt le . C'est son frère Ernest qui lui succède.
Il a été également juge au tribunal de première instance de la Seine.
On lui doit une édition des Discours et rapports de son grand-père, Jean-Étienne-Marie Portalis.
Fils aîné de Joseph Marie Portalis (1778 † 1858) et de Frédérique ( - Kiel, duché de Holstein † - Paris), comtesse de Holck, Frédéric Portalis épouse le Philippine, Renée, Adrienne Mounier ( - Paris † - Paris), fille de Claude Philibert Edouard baron Mounier et petite fille de Jean-Joseph Mounier, dont :
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