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commune française du département de Seine-et-Marne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Fleury-en-Bière[1] est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. En 2021, elle compte 656 habitants.
Fleury-en-Bière | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne (Melun) |
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Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau | ||||
Maire Mandat |
Alain Richard 2020-2026 |
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Code postal | 77930 | ||||
Code commune | 77185 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fleurysiens | ||||
Population municipale |
656 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 47 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 27′ 04″ nord, 2° 32′ 57″ est | ||||
Superficie | 13,88 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fontainebleau | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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La commune de Fleury-en-Bière se situe au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[2] et au nord-est de la région naturelle du Gâtinais.
Elle se situe à 14,99 km par la route[Note 1] de Melun[3], préfecture du département et à 15,37 km de Fontainebleau[4], sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Saint-Martin-en-Bière (1,8 km), Cély (1,8 km), Perthes (3,3 km), Arbonne-la-Forêt (4,0 km), Barbizon (4,1 km), Saint-Germain-sur-École (4,2 km), Chailly-en-Bière (4,8 km), Soisy-sur-École (5,0 km).
Le territoire de la commune de Fleury-en-Bière se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais et dans la partie ouest de la plaine de la Bière, plaine qui constitue la partie nord-est de la région du Gâtinais et qui est délimitée au nord et à l'ouest par la rivière École ; à l'est, par la Seine et au sud par la forêt de Fontainebleau.
Géologiquement intégré au Bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[6],[7].
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | ||||||||||||||
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Cénozoïque | Quaternaire | Holocène |
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Pléistocène | |||||||||||||||||
Néogène | Pliocène | non présent. | |||||||||||||||
Miocène | non présent. | ||||||||||||||||
Paléogène | Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent. |
Le système hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :
Une rivière souterraine (cavité voûtée à hauteur d'homme) traverse le village du château au lavoir du Loricard[réf. nécessaire].
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,8 km[17].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[19].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nainville-les-Roches à 8 km à vol d'oiseau[20], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 702,3 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24],[25]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[26],[27].
La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est un espace protégé présent sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[28],[29].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[30].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » :le « Massif de Fontainebleau »[31]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes gréseuses alternent avec les vallées sèches. Les conditions de sols, d'humidité et d'expositions sont très variées. La forêt de Fontainebleau est réputée pour sa remarquable biodiversité animale et végétale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espèces de coléoptères, 1 200 de lépidoptères) ainsi qu'une soixantaine d'espèces végétales protégées[32].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Fleury-en-Bière comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[33],[Carte 1], les « Marais de Fleury-en-Bière et de Baudelut » (56 ha), couvrant 3 communes du département[34].
Au , Fleury-en-Bière est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle est située hors unité urbaine[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[36],[37].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,21 %), forêts (34,50 %), zones urbanisées (5,85 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,27 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,07 %), zones agricoles hétérogènes (0,11 %)[Note 5],[38].
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
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Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
91,89 ha | 6,57 % | 96,80 ha | 6,92 % | 4,91 ha |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) |
793,22 ha | 56,67 % | 788,31 ha | 56,32 % | −4,91 ha |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) |
514,60 ha | 36,76 % | 514,60 ha | 36,76 % | 0,00 ha |
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le MOS distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[39],[40],[41]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[42].
La commune compte 63 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[43] (source : le fichier Fantoir).
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 345 dont 98,3 % de maisons[Note 7]. et 1,2 % d’appartements.
Parmi ces logements, 78 % étaient des résidences principales, 14,6 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 75,6 % contre 15 % de locataires et 9,4 % logés gratuitement[44].
L’autoroute A6 traverse de part en part, du nord au sud, le territoire de la commune. C'est à Fleury-en-Bière que se situe la barrière de péage nord de l'autoroute au PK 50 (le PK 0 étant l'échangeur Porte-Orléans entre le boulevard périphérique de Paris et l'A6). L'autoroute est accessible par le diffuseur no 13 (Cély) situé à 3 km au nord de la commune.
Trois routes départementales relient Fleury-en-Bière aux communes voisines :
La commune est desservie par trois lignes du réseau de bus Fontainebleau - Moret :
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Flori vers 1217[45] ; Flouriacum in Bieria en 1257[46] ; Floriacum in Byeria en 1258[46] ; Flory vers 1265[47] ; Floury en Byere en 1294[48] ; Flory in Byeria en 1301[49] ; Le fort de Flory en Brie en 1367[50] ; Floury vers 1380[51] ; Flouri en 1384[52] ; Flory en Biere en 1385[53] ; Fleury d'Argouges en 1773[54] ; Fleury en l'an IX[55].
Sens du toponyme : domaine gallo-romain appartenant à un certain Flor(i)us avec adjonction du suffixe -acum, floriacum.
Fleury est dans le Pays de Bière.
En 1550, Côme Clausse, seigneur de Marchaumont en Picardie et de Courances, secrétaire des dauphins François puis Henri, secrétaire d'État d'Henri II, achète la seigneurie de Fleury et construit le nouveau château. Il épouse Marie Burgensis, fille de Louis, médecin de François Ier, et sœur de l'évêque Jérôme.
Le fils aîné de Côme Clausse, Henri Clausse de Fleury, Grand-maître et réformateur général des Eaux et Forêts de France, gentilhomme ordinaire de la Chambre, épouse Denise Neufville de Villeroy (sœur de Nicolas IV), hérite de Fleury et achète aux Célestins et aux chanoines du chapitre de Melun la seigneurie de Perthes, et devient aussi seigneur de La Chapelle-la-Reine.
Parmi les enfants d'Henri Clausse et Denise de Neufville, on trouve : Nicolas Clausse, sire de Fleury et de Perthes, aussi Grand-maître des Eaux et Forêts de France, et Madeleine Clausse qui épouse Charles d'Argouges de Rânes.
Finalement, ce sont les d'Argouges de Rânes qui héritent de Perthes et de Fleury ; ils les conservent jusqu'à la Révolution, avec Arbonne et Saint-Martin. L'un des tout derniers seigneurs fut Alexandre-François-Jérôme d'Argouges (1718-† 1782), conseiller du roi, lieutenant civil des villes, prévôté et vicomté de Paris.
Le maire actuel, Alain Richard , préside le conseil municipal. Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de quinze[56].
La commune de Fleury-en-Bière est rattachée administrativement à l’arrondissement de Melun et politiquement au canton de Perthes représenté par le conseiller général Lionel Walker (PS) et à la Première circonscription de Seine-et-Marne représentée par le député Jean-Claude Mignon (UMP).
L’Insee attribue à la commune le code 77 2 32 185[1]. La commune de Fleury-en-Bière est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 217 701 853. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[57].
La commune de Fleury-en-Bière est membre de la communauté de communes du pays de Bière qui regroupe dix communes et du parc naturel régional du Gâtinais français qui regroupe 69 communes[58]. En outre, Fleury-en-Bière fait partie de trois syndicats intercommunaux (SI) de rivières : le SI d'adduction d'eau potable de Fleury-en-Bière, le SI d'aménagement du ru de Rebais et de ses affluents et le SI d'assainissement du confluent Rebais et École ; ainsi que des syndicats intercommunaux du collège Christine-Pisan à Perthes et d'électrification du secteur de Melun[59]. En tant que membre de la communauté de communes du Pays de Bière, Fleury-en-Bière adhère au syndicat mixte intercommunal de traitement des ordures ménagères (SMITOM) du centre-ouest Seine-et-Marnais[60].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1897 | 1902 | Henri Rémy | Boulanger | |
1902 | 1907 | Louis-Adrien-Léon Bizord | Cultivateur | |
janvier 1908 | janvier 1908 | Louis-Philéas Jullemier | par intérim | |
30 janvier 1908 | 1919 | Henri Rémy | Boulanger | |
1919 | 1937 | Henri Décosses | Entrepreneur | |
1947 | 1967 | Raymond Jullemier | Cultivateur | |
juin 1995 | 2020 | Chantal le Bret[61] | Droite | Retraitée |
Au 1er janvier 2013, Fleury-en-Bière n'est jumelée avec aucune commune.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[63].
En 2021, la commune comptait 656 habitants[Note 8], en évolution de −0,76 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2014 | 2019 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
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660 | 647 | 656 | - | - | - | - | - | - |
Fleury-en-Bière est située dans l'académie de Créteil. La ville administre une école élémentaire[66]. Le collège de secteur est situé à Perthes (collège Christine-de-Pizan). Les lycéens de la commune ont accès au lycée polyvalent Frédéric-Joliot-Curie de Dammarie-les-Lys, au lycée professionnel Benjamin-Franklin de La Rochette et au lycée des métiers de l'hôtellerie et de la restauration Antonin-Carême de Savigny-le-Temple.
Le quotidien régional Le Parisien, dans son édition locale Seine-et-Marne, ainsi que l’hebdomadaire La République de Seine-et-Marne, relatent les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France et d'IDF1. L’information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques : Pays de Bière, magazine d’information de la communauté de communes du pays de Bière[67] ; l’Abeille du Parc, magazine d’information du parc naturel régional du Gâtinais français[68] ; Seine-et-Marne Magazine, mensuel diffusé par le conseil général de Seine-et-Marne[69] et le Journal du Conseil régional, bimensuel diffusé par le conseil régional d'Île-de-France[70].
La commune de Fleury-en-Bière fait partie de la paroisse catholique « Pôle missionnaire de Fontainebleau » au sein du diocèse de Meaux. Elle dispose de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption[71].
Le nombre de ménages fiscaux en 2016 était de 249 représentant 650 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 30 929 €[44].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 84, occupant 315 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,2 % contre un taux de chômage de 4,5 %. Les 22,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,7 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5 % de retraités ou préretraités et 5,5 % pour les autres inactifs[72].
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 47 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 6 dans la construction, 8 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration,1 dans l’Information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 3 dans les activités immobilières, 12 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 6 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 8 étaient relatifs aux autres activités de services[73].
En 2019, 12 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 9 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[74].
Fleury-en-Bière pour sa communication (plan de la ville, plaques de rues, bulletins municipaux) utilise un blason se lisant :
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