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téléfilm canado-américain d'Eric Till (1992) De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Le Meurtrier de l'Illinois ou Disparitions sanglantes au Québec (To Catch a Killer, litt. « Pour attraper un tueur ») est un téléfilm canado-américain en deux parties réalisé par Eric Till, diffusé en 1992.
Titre québécois | Disparitions sanglantes |
---|---|
Titre original | To Catch a Killer |
Réalisation | Eric Till |
Scénario | Jud Kinberg |
Musique | Paul Zaza |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Schreckinger/Kinberg Prods |
Pays de production |
Canada États-Unis |
Genre | Thriller biographique |
Durée | 2 × 91 minutes |
Première diffusion | 1992 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Il s'agit des faits réels sur John Wayne Gacy, le « clown tueur » ou « Pogo le clown », l'un des plus grands tueurs en série américain entre 1972 et 1978, et de l'enquête du lieutenant Joseph Kozenczak sur la disparition d'un adolescent — inspiré du dernier victime dans la vraie vie[1].
Enquêtant sur la disparition du jeune garçon nommé Christopher Gant, l'inspecteur de police de Des Plaines Joe Kozenczak (Michael Riley) suit une piste qui le mène vers un homme d'affaires respecté, John Wayne Gacy (Brian Dennehy). Se fiant à son intuition, il est vite persuadé que ce dernier est non seulement responsable de la mort du jeune garçon, mais que la vérité est bien pire. John Wayne Gacy est un monstrueux tueur en série qui aurait assassiné et enterré 33 adolescents sous sa maison à Chicago.
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
Deux ans avant la mort de John Wayne Gacy[1], Le Meurtrier de l'Illinois est diffusé en deux parties le sur CTV, au Canada[7]. Aux États-Unis, il est diffusé le et sur le réseau KTLA[2],[4].
En France, il est également diffusé en deux parties, le sur M6[5].
Tony Scott du Variety souligne que « Brian Dennehy en tant que monstrueux Gacy est un excellent choix. L'acteur y fait preuve de performance professionnelle (…). Michael Riley n’y donne ni maîtrise ni autorité. (…) La photographie de Rene Ohashi est médiocre ; la lumière, qui reflète sans doute la réalité, sert trop souvent d'amateurisme. Le montage de Ralph Brunjes est bon, et la sombre musique de Paul Zaza est excellente »[2].
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