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La criminalité en Antarctique est relativement faible[1] de par la faible population du continent. Toutefois, l'isolement et l'ennui affectent négativement certaines personnes et peuvent conduire à la criminalité[2]. L'alcoolisme est un problème connu sur le continent[2] et a déjà conduit à des rixes et à des exhibitions sexuelles[3]. Parmi les autres types de crimes commis en Antarctique, on peut citer l'usage de drogues illicites[2], la torture, les actes de barbarie et la mise à mort de la faune locale[2], la conduite non autorisée de véhicules dans des zones sensibles du point de vue environnemental[2], les agressions armées, une tentative de meurtre et un incendie criminel. Des cas de harcèlement sexuel ont également été rapportés[4].
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Les vols sont très inhabituels en Antarctique car les populations ne peuvent pas apporter beaucoup d'affaires sur le continent[3]. De plus, l'argent est très peu utilisé en Antarctique[3].
En vertu du Traité sur l'Antarctique de 1959, ratifié par 53 nations, les personnes accusées d'un crime en Antarctique sont passibles de sanctions par leur propre pays[3] (cf. personnalité des lois).
L'un des premiers crimes recensé date de 1959 à la base antarctique Vostok. Cette base de recherche soviétique dans la terre de la Princesse-Élisabeth, est le théâtre d'une bagarre opposant deux scientifiques au sujet d'une partie d'échecs[5]. Le perdant de la partie s'est attaqué à l'autre avec un piolet[5].
Notes et références
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