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Le cinéma guinéen englobe les films et l'ensemble de la filière cinématographique en Guinée.
La cinématographie guinéenne est l'une des plus anciennes sur le continent africain (après l'Afrique du Sud en 1910, la Tunisie en 1924, l'Egypte en 1928 ou encore Madagascar en 1937 et le Congo en 1950)[1], puisqu'elle a vu jours avec Mamadou Touré dans Mouramani sortie en 1953 sous l'administration coloniale. Elle prend un véritable envol après l’accession a l’indépendance avec la création de Syli-Cinéma en 1967[2]. Les pionniers du cinéma d'alors Moussa Kémoko Diakité dans Naitou[3], Barry Sekou Oumar dans Et vient la liberté[4]. A l’avènement de la deuxième république le cinéma change, ont passe des langues nationales pour le français et depuis l'avènement du numérique le nombre de nouveaux films accroît régulièrement.[style à revoir]
Le cinéma guinéen souffre cependant d'un manque criant de professionnalisme, tandis qu'il est particulièrement difficile pour les producteurs guinéens de trouver un financement décent.[réf. nécessaire]
Depuis 2004 les passionnés du 7e art ont à leur disposition des écoles et structures de cinéma afin d'être plus compétents[5] notamment l'Institut Supérieur des Arts Mory Kanté de Guinée.
Le développement du cinéma est enclenchées dans les années 1950.
La Guinée, disposait alors en 1946 de quatre cinémas, dont trois le Rex, le Palace et le Rialto se trouvent au centre-ville tandis que le quatrième, le Vox, est situé dans le quartier africain de Sandervalia, tous à Kaloum.
Fin 1950, le cinquième cinéma est construit en banlieue, à Coléah.
Actif des 1947, le cinéma guinéens prends l'envol après l’indépendance en 1958 et le nombre de production et de salles de cinéma ont doublé.
Et vint la liberté de Sekou Oumar Barry en 1968 est le début du genre en Guinée.
Depuis 1953, le cinéma guinéen cantonné aux courts métrages, le cinéma guinéen d'animation accède au long métrage en 1993 avec Naitou de Moussa Kémoko Diakité.
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