On trouvera ci-après la chronologie des alternatives des matadors du XVIIIesiècle ayant laissé quelque trace dans l’histoire de la corrida, avec, dans la mesure du possible, les noms du parrain et du témoin de la cérémonie ainsi que celui de la ganadería (élevage)[1].
Davantage d’informations 1., ou ...
1.
Préciser le motif de la pose du bandeau.
Précisez le motif de la pose du bandeau en utilisant la syntaxe suivante:
{{admissibilité à vérifier|date=août 2024|motif=remplacez ce texte par le motif}}
ou
Créer l'espace de discussion. (cette méthode est préférable)
Créez une section "Admissibilité" en page de discussion de l'article en y précisant le motif de la pose du bandeau. Dans ce cas, utilisez la syntaxe suivante:
{{admissibilité à vérifier|date=août 2024|motif=pdd}}
2.
Informer les utilisateurs concernés.
Pensez à avertir le créateur de l'article, par exemple, en insérant le code ci-dessous sur sa page de discussion:
Motif: l'article ne cite aucune source; les sources données en bas de page sont pour la plupart bloguesques, ou le contenu est devenu non accessible; un article doit avoir un sujet clair et reposer sur des sources secondaires, en l'état c'est une longue liste de liens rouges ajoutés sans discernement apparent, a toutes les apparences d'un travail inédit
Conseils utiles à la personne qui appose le bandeau
Miguel Canelo. Séville. Pas de «cession des trastos»[2]. (Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.)
Lorenzo Manuel Martínez «Lorencillo». Cadix. Pas de «cession des trastos». (Ancienneté à Madrid le .)[3]
7 août: Lorenzo Manuel Martínez «Lorencillo». Madrid. Pas de «cession des trastos». (Ancienneté à Cadix en 1736.)
Date inconnue:
Agustín Morales. Madrid. Pas de «cession des trastos».
Marcos Combarro. Madrid. Pas de «cession des trastos».
Juan Palomo. Séville. Pas de «cession des trastos». Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.
Bernardo Alcalde y Merínoalias «El Licenciado de Falces»alias«El Estudiante de Falces». Pampelune (Navarre). Pas de «cession des trastos». Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.
Francisco Benete. Séville. Pas de «cession des trastos». (Ancienneté à Madrid en 1746.)
Pedro Palomo. Séville. Pas de «cession des trastos». Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.
José Saavedra. Séville. Pas de «cession des trastos». Il semble ne jamais s’être présenté à Madrid.
Juan Castell. Séville. Pas de «cession des trastos». (Ancienneté à Madrid en 1759.)
Matías Serrano. Pampelune (Navarre). Pas de «cession des trastos». Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.
Francisco Benete. Madrid. Pas de «cession des trastos». (Ancienneté à Séville en 1738.)
15 juin: Melchor Calderón Portilla. Madrid. Pas de «cession des trastos».
José Legurregui «El Pamplonés». Madrid. Pas de «cession des trastos».
Diego del Álamo «El Malagueño». Madrid. Pas de «cession des trastos».
25 mai: José Candido Esposito. Madrid. Parrain «El Malagueño» (selon d’autres sources, «Lorencillo»); témoin, Juan Esteller. Son alternative semble être la première qui ait été conférée.
Juan Castell. Madrid. Pas de «cession des trastos». (Ancienneté à Séville en 1743.)
Manuel Palomo. Séville. Pas de «cession des trastos». Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.
Gregorio Navarro «El Pastor de Falces». Pampelune (Navarre). Pas de «cession des trastos». Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.
Aucune liste exhaustive ne semble possible: nombre de matadors ont pris l’alternative, sans que leur notoriété ait jamais dépassé les frontières de leur province, voire celles de leur village, et n’ont pas laissé la moindre trace dans l’histoire.
Jusqu’au milieu du XIXesiècle, nombre de matadors ont acquis leur titre sans qu’ait eu lieu la cérémonie de l’alternative, la «cession des trastos» (les «instruments», l’épée et la muleta). Ces «alternatives» sans «cession des trastos» seront quand même signalées.
Jusqu’au milieu du XIXesiècle, la date de l’ancienneté n’était pas fixée avec précision. Selon certains, elle dépendait de la date de la première corrida en qualité de matador, selon d’autres, de la date de la première corrida à Madrid. Ainsi l’ancienneté d’un matador pouvait être différente selon la ville dans laquelle il se produisait. De plus, la renommée des matadors influençait leur ancienneté: les plus renommés arrivaient à imposer comme date d’ancienneté, dans toutes les arènes, leur première corrida en qualité de matador; les autres étaient obligés de suivre la règle commune.