SB: Meilleure performance personnelle de la saison (season's best)
WL: Meilleure performance mondiale de l'année (world leader)
WJR: Record du monde junior (world junior record)
WR: Record du monde (world record)
Circonstances et Conditions
DNF: N'a pas terminé (did not finish)
DNS: N'a pas pris le départ (did not start)
DQ: Disqualification (disqualification)
NM: Essai non réussi (No Mark)
Q: Qualifié «directement» au prochain tour (ou à la prochaine compétition), lors d'une compétition majeure, grâce au classement ou à la réalisation des minima (automatic qualifier)
q: Qualifié au prochain tour (ou à la prochaine compétition), lors d'une compétition majeure, grâce au repêchage ou à la réalisation de l'une des meilleures performances parmi celles des «non qualifiés directement» (grâce au meilleur temps ou à la meilleure distance par exemple) (secondary qualifier)
Le Namibien Lionel Coetzee est tout d'abord sacré champion d'Afrique devant le Sud-Africain Cheswill Johnson avant que les officiels ne reviennent sur leur décision.
Plusieurs athlètes critiquent l'organisation de la compétition, allant de la désorganisation des transports au chaos de l'attribution des accréditations. L'Ivoirienne Marie-Josée Ta Lou est la première à s'exprimer publiquement, critiquant notamment le fait qu'elle ait dû se rendre sur le site par ses propres moyens tandis que d'autres athlètes étaient sous escorte policière[5]. Le Sud-Africain Shaun Maswanganyi décide de quitter le pays avant même de concourir, qualifiant l'organisation d'«absolument lamentable», entre les départs au volume beaucoup trop bas car donnés par des clapets en bois au lieu de l'habituel pistolet, le risque pour sa santé en raison du manque de variété des repas ne prenant pas en compte ses allergies ou encore le manque de flexibilité dans les transports; Favour Ofili et Rosemary Chukwuma boycottent aussi la compétition[6]. Le Botswanais Letsile Tebogo émet aussi l'éventualité d'abandonner en cours de route la compétition au vu de la désorganisation de l'événement et déclare «Si nous ne pouvons pas nous prendre au sérieux, alors qui le fera?»[7].
L'organisation n'est pas épargnée par les critiques des athlètes du pays hôte; le Camerounais Emmanuel Eseme, obligé de se rendre au stade à moto, qualifie la programmation de «pas très bien organisée»[8].