La famille est établie depuis le XVesiècle en Artois, où elle tient une position notable[2].
Théodore Brongniart (1675-1714), maitre des postes[3] à Bavincourt (Pas-de-Calais), marié en 1705 avec Marie Josèphe Choquet, dont:
Ignace Théodore Brongniart (1707-1765)[réf.nécessaire], apothicaire à Paris, marié en 1737 à Paris avec Louise Geneviève de Fourcroy[3], reçu au corps des marchands-apothicaires-épiciers de la ville de Paris, dont:
Alexandre Brongniart[n 1] (1770-1847), minéralogiste, géologue et céramologue, marié en 1800 avec Jeanne Cécile Coquebert de Monbret (1782-1862), dont:
«Brongniart Edouard Franklin», cote LH/371/74, dossier de 67 documents originaux, sur leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr, Base Léonore (système de recherche parmi les personnes décorées de la légion d'honneur) (consulté en ).
[Kersaint 1965] Georges Kersaint, «Une charmante lettre inédite de J.-B. Dumas», Revue d'Histoire de la Pharmacie, no187, , p.445 (résumé, lire en ligne[sur persee]).
[Dumas 1877] Jean-Baptiste Dumas, «Éloge de MM. Alexandre Brongniart et Adolphe Brongniart» (lu dans la séance publique de l'Académie des sciences du 23 avril 1877), Mémoires de l'Académie des sciences de l'institut de France, Paris, vol.39, , xxxvii-cxx (OCLC876401701, lire en ligne[sur gallica])..
[Havelange, Huguet & Lebedeff 1986] Isabelle Havelange, Françoise Huguet et Bernadette Lebedeff, «Brongniart Adolphe Théodore» (note biographique), Publications de l'Institut national de recherche pédagogique, no11 «Les inspecteurs généraux de l'Instruction publique. Dictionnaire biographique 1802-1914», , p.195-196 (lire en ligne[sur persee])..
[Launay 1940] Louis de Launay, Une grande famille de savants: Les Brongniart, G. Rapilly et fils, , 209p., sur annales.org (lire en ligne)..
" Servir la France napoléonienne à Washington - Lettres d'Amérique - Emilie et André Pichon-Brongniart - 1801-1805 ", Luc Delambre et Edmée Delambre, éditions L'Harmattan 2020