Avenue Jean-Lolive
avenue de Pantin De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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L'avenue Jean-Lolive est l'une des artères principales de Pantin.
Avenue Jean-Lolive | |||
La rue de Paris en 1907, aujourd'hui avenue Jean-Lolive, au niveau de la caserne de pompiers. | |||
Situation | |||
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Coordonnées | 48° 53′ 30″ nord, 2° 24′ 18″ est | ||
Pays | France | ||
Région | Île-de-France | ||
Ville | Pantin | ||
Début | Avenue de la Porte-de-Pantin | ||
Fin | Rue de Paris à Bobigny puis Noisy-le-Sec | ||
Morphologie | |||
Type | Avenue | ||
Histoire | |||
Anciens noms | Grande rue, rue de Paris | ||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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modifier |
Elle suit le parcours de l'ex-route nationale 3 actuellement D933[1], de Paris jusqu'au quartier du Petit-Pantin.
Partant de l'avenue de la Porte-de-Pantin, elle croise entre autres:
Le carrefour de la rue Étienne-Marcel et de la rue de Moscou, suivi de la rue Eugène-et-Marie-Louise-Cornet et de la rue Honoré-d'Estienne-d'Orves;
Elle se termine au carrefour des Limites, dans l'axe de la rue de Paris, et où se rencontrent l'avenue Anatole-France, la route de Noisy-le-Sec et la rue Raymond-Queneau;
Elle est desservie par plusieurs stations de la ligne 5 du métro de Paris:
Elle est nommée en hommage à Jean Lolive, né à Brignais en 1910, un homme politique français, membre du Parti communiste français.
Au IIIe siècle de notre ère, est construite la grande route Lutèce-Trèves, via Reims, tracée par l’empereur Julien[2].
Dénommée « Grande rue » au XVIIIe siècle puis « rue de Paris » au siècle suivant, elle reprend un tronçon de la « route impériale 4 » connue sous l’appellation « route de Germanie », puis « route d’Allemagne », autrement dit le vieil itinéraire des invasions[3].
Le 23 mars 1918, durant la première Guerre mondiale, un obus lancé par la Grosse Bertha explose aux nos 59-61 rue de Paris ne faisant aucune victimes[4]. D'autres obus tombent au no 91 le 24 mars, au no 7 le 1er avril, au no 23 le 24 avril.