Loading AI tools
officier français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Augustin-François Le Gouz du Plessis, né le au lieu-dit du Plessis-Lionnet à Meigné-le-Vicomte, mort le à Baugé, était un officier français, émigré en 1794 sous la Révolution française, puis conseiller général de Maine-et-Loire en 1803.
Augustin-François Le Gouz du Plessis | ||
Château du Plessis-le-Vicomte à Meigné-le-Vicomte, propriété de Augustin-François Le Gouz du Plessis | ||
Naissance | Meigné-le-Vicomte |
|
---|---|---|
Décès | (à 78 ans) Baugé |
|
Origine | Royaume de France | |
Allégeance | Royaume de France | |
Années de service | 1760 – 1770 | |
Autres fonctions | Président du district de Château-la-Vallière, sénéchaussée de Baugé de 1787 à 1789
Maire de Baugé de 1808 à 1815 Conseiller général de Maine-et-Loire 1803 à 1824 |
|
modifier |
Fils de Louis-Henri Legouz et de Marie-Augustine de Vaugiraud, son père Louis était seigneur du Plessis-le-Vicomte et des Bordes[1], émigré à la Révolution, il rejoint le régiment des chevaliers de la couronne à l'armée de Condé et fut chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis en 1797[2],[3],[4].
Augustin-François Le Gouz du Plessis est né au château du Plessis-Lionnet (ou Plessis-Lyonnet), nommé aussi Plessis-le-Vicomte[2],[5],[6],[7].
Il était chevalier et seigneur du Plessis-le-Vicomte, le Bois et du Mesnil[8]en 1779.
Il fut l'époux de Françoise-Marie Legouz, sa cousine au 7e degré, dame de la terre de Bordes en 1769, décédée le [3], dont sont issus deux fils, Louis (1769-1814), et Alexandre-François-Joseph (1771) tous deux émigrés[9].
Puis il épousera en secondes noces, Marie-Anne-Charlotte de la Noüe, fille du lieutenant-général de Baugé et sœur de Francois-Nicolas de la Noüe[10], chef chouan en 1815. De ce mariage est issu, Amédée Le Gouz du Plessis (1784-1864), capitaine-commandant au premier régiment de cuirassiers de la Garde royale en 1816, qui fut chevalier en 1813 puis officier de l'Ordre royal de la Légion d'honneur[11]en 1814.
Officier dans les armes royales de 1760 à 1770[12].
Il participe à l’assemblée générale de la noblesse des sénéchaussées d’Anjou tenue à Angers le [13].
Ses opinions, et l'émigration de ses fils de son premier lit, le firent arrêter avec sa seconde femme le , pendant la période de la Terreur, il fut néanmoins libéré grâce à une ruse de Belite, femme de son cocher Morin.
Il émigre après les événements du 9 thermidor, An II (), il est de retour en France le [2]. Il fut un proche du général de la Frégeolière[14].
Il fut président du district de Château-la-Vallière, sénéchaussée de Baugé de 1787 à 1789, et du district de Baugé de 1790 à 1793.
Maire de la commune de Baugé[10] de 1808 à 1815, conseiller général de Maine-et-Loire de 1803 à 1823[15],[14], après son décès, il est remplacé à ce poste par Pierre-Vincent-Gatien de la Motte-Baracé, marquis de Senonnes, par ordonnance du .
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.