Petit-fils d’Ange Guépin, fils d’un oculiste, qui était conseiller municipal de Bordeaux en 1873, Guépin a fait ses études de médecine à Paris, où il est devenu interne des hôpitaux et reçu docteur en 1894[1]. En urologie, on lui doit notamment la «compression digitale de Reliquet et Guépin[2]».
Chevalier de la Légion d’honneur depuis le , il a été élevé au grade d’officier le [3].
Maurice Pineau, Manuel pratique du traitement de l’hypertrophie prostatique par la méthode conservatrice de Reliquet et Guépin, Paris, Maloine, , 218p. (OCLC14775996, lire en ligne), p.98.
Exposé des principaux travaux scientifiques de A.-J. Guépin, Paris, Chaix, 1898, in-8°, 46 p.
Exposé des principaux travaux scientifiques de A.-J. Guépin, Paris, F. Alcan, 1914, in-8°, 72 p.
Exposé des principaux travaux scientifiques du Dr A.-J. Guépin, 1914.
Recherches personnelles pour servir à l’étude de la gonococcie, 1933.
De la colique spermatique, 1894, in-4 °.
La Méthode conservatrice dans le traitement de l’hypertrophie prostatique, Paris, Vigot frères, in-8°, 5 p.
De la colique spermatique, Paris, G. Steinheil, 1894, in-8°, 48 p.
Compression digitale de la prostate, mars 1898, 1898, in-8°, 8 p.
«Pourquoi peut guérir l’hypertrophie sénile de la prostate», communication au Congrès de Québec, août 1898, in-8°, 3 p.
Siphilome général, double névrite optique, considérations générales sur les névrites et les atrophies optiques, Clermont, Daix frères, 1893, 14 p.; in-8°.
Le Traitement du rhumatisme blennorrhagique, Paris, bureaux du Progrès médical, 1902, in-8°, 23 p.
Prostatectomie précoce, ou Traitement conservateur dans l’hypertrophie sénile de la prostate, mémoire à l’Académie des sciences, séance du 2 décembre 1912, Paris, l’Émancipatrice, 1913, in-16, 14 p.
Des inconvénients et des dangers du sublimé corrosif dans les voies urinaires, Académie de médecine, séance du 19 janvier 1904, in-4°, 4 p. non ch., lire en ligne sur Gallica.