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Le 12e groupe de reconnaissance de division d'infanterie (12e GRDI) est une unité de l'armée française créée en 1939 et rattachée à la 4e division d'infanterie.
| 12e groupe de reconnaissance de division d'infanterie | |
| Création | |
|---|---|
| Dissolution | 1940 |
| Pays | .svg){kind=small} France
|
| Branche | Armée de Terre |
| Type | groupe de reconnaissance de division d'infanterie |
| Rôle | Reconnaissance |
| Guerres | Seconde Guerre mondiale |
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|
Il est créé le par le centre mobilisateur de cavalerie no 2 de Compiègne. Il est rattaché à la 4e division d'infanterie. Pendant la drôle de guerre, il stationne en Lorraine puis à Montreuil sur Mer[1]. En mars, les éléments motorisés sont rattachés au groupement de Beauchesne qui rassemble plusieurs GRDI et GRCA[2] ; quant à eux les éléments hippomobiles restent à Bernay-en-Ponthieu avec la division[1].
Combats des éléments motorisés
Le , les éléments motorisés avec le groupement de Beauchesne entrent en Belgique à la tête de l'armée française comme éclaireurs (voir plan Dyle). Il arrive en Hollande le [3]. Il combat le dans la région de Berg-op-Zoom. Le , les éléments motorisés sont encerclés dans ce village. Les quelques troupes qui y échappent, rejoignent la division le à Bellaing (Nord)[1].
Combats des éléments hippomobiles
L'escadron suit le reste de la division. Il rejoint la Hollande par la voie ferrée et débarque à quelques kilomètres de Gand. Il traque jusqu'au 15 des hypothétiques parachutistes allemands avant d'être replié par voie ferrée. Il combat à Berlaimont le dans le secteur de la forêt de Mormal. Il se replie ensuite par Noyelles, Lille et rejoint le reste de la division à Dunkerque le [1].
Fin de la campagne
Le GRDI est évacué sur un contre-torpilleur anglais[Lequel ?] depuis Dunkerque. Il passe à Douvres puis à Plymouth avant d'embarquer sur le croiseur auxiliaire El-Mansour. Il débarque à Brest et est dirigé sur Alençon le . Il est rattaché au 32e GRDI le . Avec cette nouvelle unité reconstituée avec les fragments de plusieurs GRDI, ils combattent en Basse Normandie le . Ils se replient ensuite au milieu des colonnes allemandes. À la fin de la campagne, il ne reste plus que 1 officier et 27 cavaliers[1].
- Commandement : Lieutenant-colonel Moslard puis Chef d’Escadrons Michon à partir du [1]
- Adjoint : Capitaine Pacaud[1]
- Escadron Hors Rang : Capitaine Ulrich[1]
- Escadron Hippomobile : Capitaine Ravaud[1]
- Escadron Motorisé : Capitaine Bayard[1]
- Escadron Mitrailleuses et Canons de 25 antichars : Capitaine Chapon[1]
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