journaliste, romancière, dramaturge, éditrice et critique littéraire française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Élisabeth Porquerol est une écrivaine et journaliste française née Pourcherol le à Nîmes et morte le dans le 14e arrondissement de Paris[2].
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Lucy Henriette Élisabeth Pourcherol |
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Élisabeth Pourcherol[3] est née le à Nîmes[4].
À 23 ans, elle propose à Notre temps le récit de son voyage à pied de Paris à Andorre, et entre dans le journalisme[4]. Collaborant à L'Intransigeant, Le Journal de la femme, L'Image, Le Crapouillot, Le Sourire, Le Rire ou Comœdia, elle écrit des enquêtes sur divers sujets[4].
En 1933, elle signe un article élogieux de Voyage au bout de la nuit dans Le Crapouillot[4], considérant « cet énorme coup de gueule du type qui en a marre » comme une « véritable révélation »[3] ; cela lui vaut l'amitié de son auteur, Louis-Ferdinand Céline[4]. Elle renonce en 1936 à fonder un journal satirique, Les Mensonges littéraires[4].
De 1957 à 1977, elle est la rédactrice en chef et principale autrice, sous six pseudonymes différents, de La Guilde du livre[4].
Amie de Dominique Aury, Pierre Herbart ou Jean Paulhan (elle a signé dans La Nouvelle Revue française[3]), elle reste critique des « milieux journalistiques et littéraires »[4]. Elle meurt le , à l'hôpital Broussais, à l'âge de 103 ans[4].
Versée dans le roman, elle s'adonne à la satire sociale[4]. Elle s'essaye aussi au théâtre, et sert de plume à Suzy Solidor pour Fil d'or [4].
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