En 1933, elle signe un article élogieux de Voyage au bout de la nuit dans Le Crapouillot[4], considérant «cet énorme coup de gueule du type qui en a marre» comme une «véritable révélation»[3]; cela lui vaut l'amitié de son auteur, Louis-Ferdinand Céline[4]. Elle renonce en 1936 à fonder un journal satirique, Les Mensonges littéraires[4].
De 1957 à 1977, elle est la rédactrice en chef et principale autrice, sous six pseudonymes différents, de La Guilde du livre[4].
Al final del Vellocino (Jasón), Estudio critico, notas y traducción de Rocío González Naranjo, Invasoras, 2019.
Le Moment d'Avrancourt, Paris, Albin Michel, 1945 (BNF32540580).
Le Fourbi arabe, Paris, Albin Michel, 1946 (BNF32540578).
La Ville épargnée, Paris, Minuit, 1953 (BNF32540582).
Éd. de la Véritable vie privée du maréchal de Richelieu, contenant ses amours et intrigues, et tout ce qui a rapport aux divers rôles qu'a joués cet homme célèbre pendant plus de quatre-vingts ans, Paris, Club du meilleur livre, coll. « Mémoires », 1954 (BNF32569984).
Dominique Aury, «Ces doux monstres», La NRF, n° 13, janvier 1954, p. 115-123.
(it) Stefano Genetti, « Médée commence: In merito a Jason di Élisabeth Porquerol », dans Magia, gelosia, vendetta: il mito di Medea nelle lettere francesi, Nissim, 2006, p. 319-346.
(it) Stefano Genetti, « La statua e lo spettro: su Argos ou la journée du retour, scena omerica di Elisabeth Porquerol », Quaderni di lingue e letterature, no31, 2006.
Serge Velay, Michel Boissard et Catherine Bernié-Boissard, «Porquerol Élisabeth», dans Petit dictionnaire des écrivains du Gard, Nîmes, Alcide, (ISBN978-2-917743-07-2), p.200-202.
Élisabeth Le Corre, « Jason d'Élisabeth Porquerol et Médée de Jean Anouilh: de la séparation du couple au divorce des idéaux », Le Paon d’Héra, no6, , p. 123-136.
Jean-Kely Paulhan, « Peur sur la ville », Le Banquet, (lire en ligne) — à propos de La Ville épargnée.
Rocio Gonzalez Naranjo, « Théâtres impossibles: Halma Angélico et Élisabeth Porquerol », dans Madelena González et Hélène Laplace-Claverie (dir.), Minority Theatre on the Global Stage: Challenging Paradigms from the Margins, Cambridge Scholars Publishing, 2012, p. 321-334.
Jean-Kely Paulhan, «Se souvenir d'Élisabeth Porquerol», Europe, septembre-, pp. 265-276.
Jean-Kely Paulhan, «Élisabeth Porquerol, un art de la solitude désinvolte en revue(s)?», in Dir. A. Auzoux, C. Koskas, E. Russo, Des revues et des femmes dans les revues littéraires de la Belle Époque jusqu’à la fin des années 1950, Actes du colloque de la Sorbonne en 2019, Honoré Champion, 2022, p. 107-118.
Camille Koskas, «Les chroniques de Dominique Aury à La NRF (1953-1959», Des revues et des femmes dans les revues littéraires de la Belle Époque jusqu’à la fin des années 1950, p. 119-131.