Utilisateur:Firleiouwka/sauvegarde
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Voici une bien modeste récompense pour ton excellent travail sur la vie trépidante de notre ami Sacher-Masoch. Amicalement, Alchemica - discuter 29mars 2009 à 11:43 (CEST) |
Rien de plus à ajouter. Tu es vraiment la star de Sacher-Masoch ! il doit être fier de toi, Anatole ! Mike Coppolano (discuter) 4 février 2015 à 14:24 (CET) |
Pour l’ensemble de ton travail sur Wikipédia.
Ce n’est pas parce qu’on ne dit rien qu’on ne voit pas ! -- Éric Messel (Déposer un message) 10 novembre 2015 à 20:20 (CET) |
Pour le travail magnifique que tu as accompli, entre autres sur Sadisme et masochisme au cinéma. Tendresses, KolofKtulu 13 juin 2019 à 12:05 (CEST) |
Ma langue maternelle est le français. en-5 I speak English at a professional level. |
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- « À quoi sert la philosophie ? » : « La philosophie sert à nuire à la bêtise ! » Et « L'art sert à nuire à la vulgarité. »[1]
- « Avec Sade et Masoch, la littérature sert à nommer, non pas le monde puisque c'est déjà fait, mais une sorte de double du monde, capable d'en recueillir la violence et l'excès. » [2]
- « Juger, c'est le métier de beaucoup de gens, et ce n'est pas un bon métier, mais c'est aussi l'usage que beaucoup de gens font de l'écriture. Plutôt être balayeur que juge. Plus on s'est trompé dans sa vie, plus on donne des leçons...". »[3]
- « Une fulguration s'est produite, qui portera le nom de Deleuze... Un jour, peut-être, le siècle sera deleuzien »[4].
- « Nous transportons avec nous le trouble de notre conception. Il n’est point d’image qui nous choque qu’elle ne nous rappelle les gestes qui nous firent[5] »
- « Nous sommes venus d’une scène où nous n’étions pas[5] »
- « Cette place du Dieu-le-Père, c’est celle que j’ai désignée comme le Nom-du-Père… », sachant que « c’est en tant que le Nom-du-Père est aussi le Père du Nom que tout se soutient Père-version d’un « c’est écrit » dont s’instaurerait le rapport sexuel[6] ».
- « Quelle chose étrange, mes amis, paraît être ce qu’on appelle le plaisir ! et quel singulier rapport il a naturellement avec ce qui passe pour être son contraire, la douleur[7]» ǃ
- « Nous sommes dans un temps où les hommes, poussés par de médiocres et féroces idéologies, s'habituent à avoir honte de tout. Honte d'eux mêmes, honte d'être heureux, d'aimer et de créer (...). Il faut donc se sentir coupable. Nous voilà traînés au confessionnal laïque, le pire de tous[8].
- « Les cons ça ose tout, c'est même à çà qu'on les reconnaît[9]».
Souvent, je fus harcelée sur Wikipédia. Quelquefois, j'aimerais participer en écrivant au Bistro. J'évite, peur des plaisanteries glauques.
J'ai du consciemment ou inconsciemment me fabriquer un CsO, vous savez ce truc bizarre dont parle Antonin Artaud, et pour ceux qui ne connaissent pas, je vais vous le citer :
« L'homme est malade parce-qu'il est mal construit. Il faut se décider à le mettre à nu pour lui gratter cet animalcule qui le dérange mortellement, dieu et avec dieu ses organes. Car liez moi si vous le voulez, mais il n'y a rien de plus inutile qu'un organes. Lorsque vous lui aurez fait un corps sans organes, alors vous l'aurez délivré de tous ses automatismes et rendu sa véritable liberté. Alors vous apprendrez à danser à l'envers comme dans un délire de bal musette. Et cet envers sera son véritable endroit. » : Pour en finir avec le jugement de dieu[10] »
Qu'est-ce que le corps-sans-organes[11][12].
Au Salon, il expose la Mort de Sardanapale, véritable manifeste romantique. Victor Hugo se référant à la critique : « Ne croyez pas que Delacroix ait failli. Son Sardanapale est une chose magnifique, et si gigantesque qu'elle échappe aux petites vues. Du reste, ce bel ouvrage, comme beaucoup d'autres ouvrages grands et forts, n'a point eu de succès près des bourgeois de Paris sifflets de sots sont fanfares de gloire. » (lettre à Victor Pavie du 3 avril 1829)
Je suis fan de Gilles Deleuze, et de quelques autres comme Régis Michel, puis des peintres comme Delacroix, Rubens... Et de comédiens comme Al Pacino,
En tous cas Régis Michel m'a appris ce qu'il en coutait de s'être construit un CsO lui aussi je le cite :
« Faites-le. Mais sans illusions. Vous n’y parviendrez pas. Vous n’y parviendrez jamais. Vous n’avez aucune chance d’y parvenir. Il n’y a pas d’espoir. Pas de futur. Ni même de fin. Car il ne s’agit pas d’une abstraction. Mais d’une limite. Pas d’un concept. Mais d’une pratique. Pas d’une idée. Mais d’une expérience. En un mot, c’est un passage. Un voyage. Une traversée. On appelle ça le nomadisme. À bon entendeur : soyez nomade. Faites-le. Faites-le quand même. Il y a sans doute des risques. Il y a même du danger. Vous devrez vous battre. Contre la censure. Et la répression. Car l’entreprise est par trop subversive. Elle défie l’État, la société, l’idéologie, et le reste. Vous ne serez pas libre. Vous n’aurez pas la paix. Vous devrez vous défendre. En pure perte. À bon entendeur : soyez… défaitiste[13] »