Lille – 4 et 5 octobre 2014: Dans Le Monde du 10 octobre 2014[6], une militante de Alternatiba Lille, interviewée par les journalistes insiste sur l'aspect formateur de la manifestation, et les objectifs, qui sont d'élaborer des solutions et actions de proximité, par les participants. De préparer une transition de société. Elle précise également que l'action de lutte contre le réchauffement climatique,: «ce n'est pas se saigner, comme on a tendance à nous dire dans les médias, c'est simplement faire autrement»
Gironde – 10 au 12 octobre 2014: «Le "village" d'Alternatiba Gironde, installé tout le week-end au cœur du quartier de Sainte-Croix, dans le centre de Bordeaux, a accueilli "15 000 visiteurs" qui ont participé à des conférences, des spectacles et des ateliers auxquels étaient associés 150 associations autour de la thématique du climat.»[7]
Strasbourg - 27 et 28 juin 2015[14]: «Strasbourg et l’Alsace sont entrés dans la danse en organisant à leur tour un grand village de la transition ce week end. Dans la capitale européenne, le village se divise en deux depuis samedi matin avec une partie place Broglie et une autre place Kléber. Ateliers, causeries et conférences sont au programme de cette manifestation».
Nord-Essonne – 4 et 5 juillet 2015: Dans Le Parisien[18]«En pleine canicule, la ville des Ulis accueille ce week-end le festival Alternatiba, dont un des principaux objectifs est de "montrer aux gens qu’il existe une alternative concrète au réchauffement climatique, lance Gregory Hebinger, un des organisateurs. Et que pour ça, il n’y a pas besoin d’être riche. Chacun peut y contribuer." (...) Au parc urbain des Ulis, les visiteurs ont pu profiter de conférences, spectacles, d’une soixantaine de stands axés sur les thèmes de l’éducation, l’économie, le climat, l’alimentation et l’agriculture, l’énergie et les transports. Les enfants pouvaient s’initier au tri grâce au clown Jojo le dépollueur.»
«Entre 12 000 et 15 000 personnes dans les rues du Petit-Bayonne et des alentours – le centre historique de la ville –, des centaines d’ateliers et d’animations, des dizaines d’associations nationales représentées, etc. Les 5 et 6 octobre, la réussite d’Alternatiba, le «village des alternatives contre le changement climatique a dépassé le prévisions les plus optimistes des organisateurs».» Cf. Politis du 19 décembre 2013.
Selon Sud Ouestdu 11 septembre 2013«à travers quinze espaces “thématiques” Alternatiba proposera des animations de rues comme un marché paysan, des mutxikos, des chants, une visite de la ville par l'historien Claude Labat, une information sur la fabrication d'une bière locale, des “conférences gesticulées”, des jeux pour enfants, une bourse aux vélos et atelier de réparation…»
Pour Sud Ouestdu 7 octobre 2013«Christiane Hessel, la femme de Stéphane Hessel, était hier l'invitée du forum Alternatiba. Son mari, ancien résistant, diplomate et intellectuel, avait accepté de parrainer la manifestation. Après son décès, l'année dernière, sa veuve a confirmé ce parrainage. Devant le public d'Alternatiba, elle a lu un appel à la mobilisation contre le réchauffement climatique. Lors de cette soirée, hommage a été rendu à son défunt mari.»
Pour le Ouest-France du 29 septembre 2014, «ce dimanche, la place est un peu le carrefour des nouvelles façons de faire vivre la démocratie. À côté, l'Acipa, principale association d'opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, montre comment des citoyens ont su s'emparer d'un dossier complexe. Cela s'appelle “l'expertise citoyenne”. Alternatiba a investi le quartier du Bouffay. Affluence de marché ou de jour de grande braderie. Les acteurs d'une autre façon de vivre côtoient curieux et promeneurs du dimanche. L'ambiance est détendue. On se parle. L'atelier du Retzemploi voisine avec le recyclage artistique.»
Pour TahitiNews paru le 30 novembre 2014, «plus que la simple dimension écologique, ce regroupement de bonnes volontés n’avait pour ambition que d’attirer l’attention du public sur les alternatives possibles dans divers domaines de la vie quotidienne, qu’il s’agisse d’habitat, d’alimentation, de bien-être ou encore de transport. [...] Au rayon alimentation ensuite, les organisateurs ont naturellement valorisé le bio, sans pesticide, bon pour la santé avec une petite dégustation de produits frais à l’extérieur. Des conseils pour cuisiner étaient également prodigués pour que le ma’a sain soit également bon en bouche».
Muriel Guillin, «Un festival pour changer la planète», sur LaDepeche.fr, (consulté le ) : «[Dans ce village] chaque stand sera celui de l'alternative à une thématique: consommation, déchets, énergie, habitat, transport, agriculture, biodiversité, santé, économie, tourisme, éducation/pédagogie…De stand en stand, on pourra ainsi voir quels sont les moyens permettant, dès aujourd'hui, à chacun (individu, communes, associations, etc.) de lutter concrètement contre le changement climatique en cours. [...] Ce village sera implanté à Bagnères, mais concerne tout le monde, des Hautes-Pyrénées ou d'ailleurs.»
Selon l'article de Nord-éclair du 5 aôut 2015, le Tour Alternatiba est arrivé à Roubaix alors que, «sur la place, les militants associatifs locaux avaient monté au préalable un village de stands, tiers-lieu éphémère».
Selon un article de Libération du 2 février 2015, «plus de 50 000 personnes sont attendues à Paris, le 26 septembre, autour de la place de la République pour l’arrivée du Tour en quadruplette, dans le cadre d’un «Village» parisien.»