Télé Gaucho est un film français réalisé par Michel Leclerc et sorti en 2012.
Faits en bref Réalisation, Scénario ...
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Le film s'inspire librement de l'histoire de Télé Bocal[1].
Vie d'une télé locale indépendante dans les années 1990 en France gérée par Jean Lou, Yasmina, Étienne et Adonis, des anarchistes et provocateurs de la première heure, prêts à faire la révolution[2],[3].
- La Croix par Arnaud Shwartz : « C’est dommage : surgie après l’invention du camescope mais avant celle d’Internet, l’expérience de Télé Gaucho répondait sans doute à un besoin d’expression libre et directe, qui méritait qu’on s’y arrête. »[réf. nécessaire]
- Le Nouvel Observateur par Xavier Leherpeur : « Un film joyeux et débridé qui restitue ce goût à nul autre pareil pour l'irrévérence et un bordel joliment orchestré par la mise en scène, que revendique toujours Télé Bocal, dont la voix discordante se fait entendre sur la TNT, chaque jour, entre 23 heures et 2 heures du matin. »[réf. nécessaire]
- L'Express par Laurent Djian : « Leur appétit de révolte ou leurs engueulades homériques offrent des situations aussi loufoques que désopilantes. »[réf. nécessaire]
- Le Point par François-Guillaume Lorrain : « On imagine le joyeux foutoir, que Michel Leclerc, qui fit partie de l'aventure, tente de restituer cahin-caha, sans essayer de mettre trop d'ordre à une aventure qui n'en avait guère. »[réf. nécessaire]
- Le Parisien par Pierre Vavasseur : « « Télé Gaucho » est censé nous raconter cette joyeuse aventure mais l’affaire tourne vite au ciné gâchis. Séquences brouillonnes ou idiotes, scénario crypté, seconds rôles décoratifs, mise en scène aux abonnés absents : Leclerc livre une tambouille volontairement anarchique à la va-comme-que-je-te-filme. »[réf. nécessaire]
- Le Monde par Isabelle Regnier : « "Télé Gaucho" : une comédie plutôt réussie doublée d'un récit d'apprentissage. » regrettant néanmoins que le film « se condamne à n'être guère plus qu'une sorte de reboot de Mes Meilleurs Copains. »[4]
- Le Journal du dimanche par Jean-Pierre Lacomme : « La politique sert de toile de fond mais ce qui domine ici, c'est l'amour des personnages, la générosité et le rire, qui valent bien toutes les banderoles. »[réf. nécessaire]
- Marianne par Danièle Heyman : « Ah ! Quel joyeux bordel ! Quel sympathique foutoir ! Michel Leclerc n'a pas raté son coup d'après Le Nom des gens. »[réf. nécessaire]
- Télé 7 Jours par Viviane Pescheux : « le réalisateur du "Nom des gens" trouve, une fois encore, le ton juste, entre situations cocasses et personnages hauts en couleur. »[réf. nécessaire]
- Positif par Adrien Gombeaud : « un projet foutrac et sympa, comme l'étaient les programmes libertaires dont il s'inspire. […] Il reste soulevé par des bouffées de romantisme acharné, par l'humour et la sensualité candide de Sara Forestier. »[réf. nécessaire]
- Première par Antoine Prioul : « Choper le rire comme il vient, à savoir par la bande, c'est un peu la marque de fabrique de Michel Leclerc […] l'ennui, c'est que cette mécanique du hasard provoqué s'avère un rien prévisible. »[réf. nécessaire]
- Les Fiches du cinéma par Isabelle Danel : « Sympathique, mais trop foutraque, le film laisse une impression de brouhaha auquel il manque le rythme et les rires. Mais il révèle le jeune Félix Moati. »[réf. nécessaire]
- Transfuge par Romain Blondeau : « Sans jamais retrouver ni l'habileté ni la drôlerie du "Nom des gens", Michel Leclerc décline les vannes paresseuses et inopérantes dans l'hystérie générale. »[réf. nécessaire]
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Télé Gaucho sur UGC Distribution