Sous la meule de Dieu et autres contes de Joseph Malègue
De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Sous la meule de Dieu et autres contes de Joseph Malègue est le recueil, publié en 1965 aux éditions du Chalet à Lyon par Jean Lebrec[1], des trois plus importants contes ou nouvelles de Joseph Malègue : La Mort d'Adam[1], Celle que la Grotte n'a pas guérie et Sous la meule de Dieu[2],[3] . Ce texte, achevé en août 1940, est le dernier que Malègue ait écrit avant sa mort : il raconte l’histoire d’un avocat de Nantes, à jamais meurtri par la perte de son fils, « grièvement blessé lors des combats de juin […], et qui mourra comme un saint »[4].
![Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/38/Info_Simple.svg/12px-Info_Simple.svg.png)
Cet article ou cette section d'article est rédigé entièrement ou presque entièrement à partir d'une seule source ().
N'hésitez pas à modifier cet article pour améliorer sa vérifiabilité en apportant de nouvelles références dans des notes de bas de page.
Lebrec les commente dans sa présentation du recueil[5], et édite quatre autres nouvelles, très courtes, dans L'Art de la nouvelle chez Joseph Malègue : L'Orage, La Pauvreté, Rêverie autour de la peine de mort et Notes d'urbanisme moral, qu'il commente longuement (70 pages)[6].
De plus, Malègue est l'auteur d'une huitième nouvelle qui sera insérée dans Pierres noires : Les Classes moyennes du Salut, roman posthume. Cette œuvre est censée être une « Relation écrite en sa prison de Feurs, par Henri Casimir du Montcel ci-devant président du Présidial de Riom en Auvergne, jugé, massacré et enterré dans la fosse commune de Feurs en juillet 1794 ». L'auteur de la « relation » est un ancêtre d'André Plazenat personnage du roman, qui enseigne le droit à Paris. L'enseignant confie le manuscrit à Jean-Paul Vaton, le narrateur-héros, pour qu'il en établisse une copie. Ce document doit servir à l'élaboration d'une étude sur les tribunaux révolutionnaires.
Dans le chapitre de Pierres noires intitulé, comme la nouvelle, La Révolution, Jean-Paul Vaton fait part de ses impressions sur ce qu'il retranscrit[7].