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politicien suisse De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Raphaël Comte, né le à Neuchâtel (originaire de Courtételle), est un homme politique suisse, membre du Parti libéral-radical. Il est député du canton de Neuchâtel au Conseil des États de à .
Raphaël Comte | |
Portrait de Raphaël Comte. | |
Fonctions | |
---|---|
Conseiller aux États | |
– | |
Élection | 17 janvier 2010 |
Réélection | 23 octobre 2011 8 novembre 2015 |
Législature | 48e, 49e et 50e |
Prédécesseur | Didier Burkhalter |
Successeur | Philippe Bauer |
Président du Conseil des États | |
– | |
Prédécesseur | Claude Hêche |
Successeur | Ivo Bischofberger |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Neuchâtel |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | Parti libéral-radical (PLR) |
Profession | Juriste |
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Raphaël Comte naît le à Neuchâtel. Il est originaire de Courtételle, dans le canton du Jura[1].
Après une maturité latin-grec obtenue à Neuchâtel, il entame des études de droit aux universités de Neuchâtel, Berne et Zurich. Son mémoire de licence est consacré aux fusions de communes.
Raphaël Comte siège au Conseil général de Corcelles-Cormondrèche depuis 2000 et préside ce conseil pendant l'année 2006-2007. Il présidait également la commission de fusion entre les communes de Corcelles-Cormondrèche et de Peseux, qui est rejetée par les électeurs de la seconde commune. De 2009 à 2012[2], il est le président de l'Association des communes neuchâteloises et préside à ce titre les états-généraux des communes neuchâteloises.
Il est élu député au Grand Conseil neuchâtelois en 2001, devenant ainsi le plus jeune député de l’histoire du canton (il a depuis été dépassé par Solenne Perrinjaquet, élue députée en 2005). Il est alors membre de la commission législative, qu'il préside pour la période 2007-2009, et rapporteur de la commission « fiscalité et politique familiale » et de la commission « police ».
Il est l’un des auteurs du projet de loi ayant abouti à la création du partenariat enregistré dans le canton de Neuchâtel. Il dépose également plusieurs projets visant à la réforme des institutions et à l’assainissement des finances de l’État (dont l’affectation de la part neuchâteloise de l’or de la Banque nationale suisse au désendettement de l’État).
Élu président du Parti radical neuchâtelois en mars 2004, il en devient le plus jeune président de l’histoire.
Le , il est élu au Conseil des États, en remplacement de Didier Burkhalter, élu conseiller fédéral, à la suite du désistement des deux autres candidats, Francine John-Calame des Verts et Pierre Hainard de l'Union démocratique du centre. Il devient ainsi le plus jeune membre de la chambre.
Il est réélu en 2011[3] et 2015[4]. Il devient le premier vice-président du conseil le , puis président le (pour un an).
Membre du mouvement Écologie libérale, il est nommé membre de son comité le [5].
En juin 2018, il annonce qu'il ne se représentera pas pour un nouveau mandat et qu'il se met en retrait de la vie politique[6],[7].
En , il est nommé président du conseil d'administration des Transports publics neuchâtelois, où il succède à Robert Cramer[8],[9].
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