Organisation de l'armée secrète
organisation politico-militaire clandestine française pour la défense de la présence française en Algérie / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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L'Organisation de l'armée secrète, ou Organisation armée secrète, surtout connue par le sigle OAS, est une organisation terroriste clandestine française proche de l'extrême droite créée le pour la défense de la présence française en Algérie par tous les moyens, y compris le terrorisme à grande échelle.
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Organisation de l'armée secrète OAS | |
Devise : L'OAS frappe quand elle veut et où elle veut | |
Idéologie | Anti-indépendantiste |
---|---|
Objectifs | Contre l'indépendance de l'Algérie Maintien de l'Algérie française |
Statut | Inactif |
Fondation | |
Date de formation | |
Pays d'origine | France |
Fondé par | Jean-Jacques Susini, Pierre Lagaillarde |
Actions | |
Mode opératoire | Terrorisme |
Victimes (morts, blessés) | 2 700[1] |
Zone d'opération | France métropolitaine, Algérie française |
Période d'activité | 1961-1962 |
Organisation | |
Chefs principaux | Raoul Salan, Edmond Jouhaud, Yves Godard, Jean-Jacques Susini, Pierre Lagaillarde, Jean-Claude Perez |
Membres | 3 000[réf. nécessaire] |
Branche politique | extrême droite |
Sanctuaire | Espagne franquiste |
Groupe relié | Front Algérie française |
Répression | |
Considéré comme terroriste par | France |
Guerre d'Algérie | |
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Un an après l'échec de la semaine des barricades, alors que le gouvernement français souhaite manifestement se désengager en Algérie, elle est créée à Madrid, lors d'une rencontre entre deux activistes importants, Jean-Jacques Susini et Pierre Lagaillarde, ralliant par la suite des militaires de haut rang, notamment le général Raoul Salan.
Le sigle « OAS » fait volontairement référence à l’Armée secrète (AS) de la Résistance. Il apparaît sur les murs d'Alger le , et se répand ensuite en Algérie et en métropole, lié à divers slogans : « L'Algérie est française et le restera », « OAS vaincra », « l'OAS frappe où elle veut et quand elle veut », etc.
Sur le plan pratique, il ne s'agit pas d'une organisation centralisée unifiée ; d'une façon très générale, elle est divisée en trois branches plus ou moins indépendantes, parfois rivales : l'« OAS Madrid », l'« OAS Alger » et l'« OAS Métro »[2].
L'OAS est responsable d'entre 1 700 et 2 200 morts, principalement en Algérie.