La bataille fut l'occasion pour le président du gouvernement, Juan Negrín, et son ministre de la Défense nationale, Indalecio Prieto, d'essayer la jeune Armée populaire de la République espagnole. L'offensive avait pour but, d'un point de vue stratégique, de retenir les troupes ennemies loin de la zone nord républicaine, qui subissait alors les premiers coups d'une vaste offensive nationaliste. Elle se solda par un échec républicain.