Centre pénitentiaire de Nantes
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Le centre pénitentiaire de Nantes regroupe trois établissements différents dépendant de l'administration pénitentiaire française et situant tous dans les limites administratives de la ville :
Maison d'arrêt de Nantes | ||||
Localisation | ||||
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Pays | France | |||
Région | Pays de la Loire | |||
Localité | Nantes | |||
Coordonnées | 47° 16′ 02″ nord, 1° 30′ 22″ ouest | |||
Géolocalisation sur la carte : Nantes
Géolocalisation sur la carte : [[Modèle:Géolocalisation/Loire Atlantique]]
Géolocalisation sur la carte : France
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Architecture et patrimoine | ||||
Construction | ||||
Installations | ||||
Type | maison d'arrêt | |||
Capacité | 570 places | |||
Fonctionnement | ||||
Date d'ouverture | 2012 | |||
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La maison d'arrêt de Nantes, est située rue de la Mainguais au nord-est de la ville, à la limite de la commune de Carquefou[1]. L'établissement, qui a été construit sur un ancien terrain militaire où se trouve également le champ de tir du Bêle[2], comprend 570 places pour hommes et femmes[3]. Il est en outre équipée d'une cuisine et d'une blanchisserie centrale[4].
Elle remplace la vétuste prison construite en 1865 et rénovée en 1988 qui se trouvait en centre-ville près de l'ancien palais de justice, rue Descartes, et dont la démolition partielle a laissé la place à des logements neufs[5],[6].
La maison d’arrêt a fait l’objet d’un contrat de partenariat public privé (PPP) pour le financement, la conception, la réalisation des établissements pénitentiaires ainsi que l’entretien, la maintenance et des prestations de service (blanchisserie, restauration, maintenance, transport des détenus, accueil des familles) pendant une durée de 27 ans[7].
Son inauguration s'est déroulée le [8], elle intervient six mois après sa livraison (fin 2011[9]) laquelle clôturait près de 2 ans de travaux pour un budget de 80 millions[10], piloté par la société Bouygues, propriétaire de la prison[11].
Le 29 décembre 2012, environ 300 opposants au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes ont manifesté devant la maison d'arrêt en soutien à leurs camarades condamnés après les heurts avec les forces de l'ordre sur le site de l'aéroport[12].
En 2013, quatre suicides interviennent dans cet établissement sur une période de près de trois mois[13].
D'une capacité de 570 places, la nouvelle maison d'arrêt du centre pénitentiaire de Nantes, a été conçu par Alain Derbesse[14], et dispose de :
Centre de détention de Nantes | ||||
Localisation | ||||
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Pays | France | |||
Région | Pays de la Loire | |||
Localité | Nantes | |||
Coordonnées | 47° 16′ 02″ nord, 1° 30′ 22″ ouest | |||
Géolocalisation sur la carte : Nantes
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : France
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Architecture et patrimoine | ||||
Construction | ||||
Installations | ||||
Type | centre de détention | |||
Capacité | 510 places | |||
Fonctionnement | ||||
Date d'ouverture | 1981 | |||
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Le centre de détention pour hommes situé au 68 boulevard Albert-Einstein dans les quartiers nord de la ville, a été construit en 1981, et offre une capacité d'accueil de 510 places[3]. Jusqu'en 2012, le centre de détention comprenait aussi une maison d'arrêt pour femmes de 28 places et d'un service médico psychiatrique régional (SMPR) qui ont déménagé dans la nouvelle maison d'arrêt.
Centre de semi-liberté de Nantes | ||||
Localisation | ||||
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Pays | France | |||
Région | Pays de la Loire | |||
Localité | Nantes | |||
Coordonnées | 47° 16′ 02″ nord, 1° 30′ 22″ ouest | |||
Géolocalisation sur la carte : Nantes
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : France
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Architecture et patrimoine | ||||
Construction | ||||
Installations | ||||
Type | centre de semi-liberté | |||
Capacité | 40 places | |||
Fonctionnement | ||||
Date d'ouverture | 1971 | |||
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Localisation : 47° 14′ 29″ N, 1° 34′ 33″ O
Le centre de semi-liberté de Nantes installé dans les locaux d'une ancienne école acquis par le Ministère de la Justice en 1971, est une unité d'une capacité de 40 place réservé à une population essentiellement masculine (deux places sont néanmoins réservées aux femmes)[3], situé, 19 avenue de la Close, à Nantes.
Le , le garde des Sceaux, ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas, annonce la création d'une seconde maison d'arrêt dans l'agglomération nantaise afin de juguler la surpopulation carcérale. Le site retenu se trouve à Bouguenais sur un terrain situé à proximité de l'« Institut de recherche dans les domaines de la ville et les territoires, des transports et du génie civil » (Ifsttar), dont l'État est propriétaire. Sa mise en service ne devrait pas cependant intervenir avant une dizaine d'années[15]. Le , la ministre de la Justice Nicole Belloubet annonce officiellement l'abandon de projet[16].
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