Fondation de l'hôpital Sainte-Avoye à Paris par Jean Séquence, curé de Saint-Merri, et par Constance de Saint-Jacques, «pour y recevoir cinquante pauvres femmes veuves âgées de cinquante ans[3]».
Fondation à Gray, en Bourgogne, par Girard d'Arc, d'un hôpital au bord de la Saône[4].
L'hôpital Saint-Antoine, à Monistrol, est attesté dans le répertoire des hommages de l'évêque du Puy[5].
[8]-1285: fl.Henri du Perche, chirurgien juré de la prévôté de Paris«cité dans l'enquête sur les miracles de Saint Louis[9]»; en , il a décrit «le cas d’un jeune homme d’une vingtaine d’années atteint d’un œdème unilatéral de la cheville remontant progressivement vers la cuisse»; en termes actuels et vu l'âge du patient, on peut suspecter qu'il s'agit d'une thrombophilie[8].
1285-: fl.Foulques de la Charité, médecin du roi de France Philippe le Bel[10].
Henri Sauval, Histoire et recherches des antiquités de la ville de Paris, vol.1, Paris, Charles Moette, libr. et Jacques Chardon, impr.-libr., , 672p. (lire en ligne), p.508.
Christiane Claerr, «Hôpital des hospitaliers du Saint-Esprit (maison)», dans Région Franche-Comté, Dossiers de l'inventaire du patrimoine en Bourgogne-Franche-Comté, (lire en ligne).
Johan Picot, UMR 5594 du CNRS, Centre d'histoire médiévale, université Jean-Moulin-Lyon 3, Atlas historique et archéologique des léproseries des anciens diocèses de Clermont et de Saint-Flour, vol.1: Texte, DRAC Auvergne, service régional de l'archéologie, (lire en ligne), p.84.
(en) Volker Scheid (dir.) et Hugh MacPherson (dir.) (préf.Ted J. Kaptchuk), Integrating East Asian Medicine into Contemporary Healthcare, Londres, Churchill Linvingstone Elsevier, Ltd., (lire en ligne), «Introduction», p.8.
Youssef Kort, Rim Bourguiba, Heykel Abdelhedi et al., «De Raoul à Wirshow: 600 ans d'histoires», La Revue de médecine interne, vol.38, no1, supplément «75econgrès français de médecine interne, Brest, 14-16 juin 2017», , «Résumé» (lire en ligne).
Alain Ségal, «Propos informels sur la liste nominative de saints médecins proposée par Abraham Bzowski en 1621», Histoire des sciences médicales, vol.50, no3, , p.347 (lire en ligne) (c'est par erreur que les dates de 1233 et 1285 sont imprimées comme étant celles de 1533 et 1585).