Œuvres de Georges Braque
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Cette liste, forcément incomplète puisqu'il n'existe pas de catalogue raisonné des œuvres de Braque, recense en priorité, parmi les pièces les plus importantes de l'artiste, celles qui sont exposées dans des musées. Ou bien, dans le cas de collections particulières, celles qui sont le plus souvent prêtées et qui apparaissent dans les rétrospectives. Les œuvres de Georges Braque se composent principalement de tableaux, catégorie dans laquelle se trouvent les papiers collés, qui sont des compositions, à ne pas à confondre avec des collages. L'artiste a aussi réalisé des livres d'artistes, des lithographies, des eaux-fortes, des sculptures, des tapisseries et des bijoux.
Cependant, Braque a été longtemps « mis à l'écart » des historiens d'art qui ont produit peu d'ouvrages sur son œuvre. Comme le fait remarquer Alex Danchev en 2005 :
« Les ouvrages de référence sur Braque sont rares ou minces, les articles se réduisent à un point presque comique, notamment celui de l’Oxford Companion to Art (1970), qui tient en quinze lignes. Les travaux de ses six dernières années ne sont pas catalogués dans la série des catalogues raisonnés édités par Maeght : 7 volumes qui s'arrêtent en 1957, ce qui est symptomatique d'un climat général. Un quart des œuvres d'avant 1957, répertoriées en 1997 par l'historien d'art anglais John Golding (1930-2012)[1], ne se retrouvent pas dans le catalogue raisonné de 1957. À Paris, une rétrospective s'est tenue à l'Orangerie en 1973, et une au musée national d'art moderne en 1982, et depuis, plus rien. Du moins pendant trente ans jusqu'à la rétrospective 2013 au Grand Palais[2]. »
Comme il n'y a eu aucun catalogue raisonné intégral des œuvres de Braque, la multiplication de titres identiques pour des œuvres différentes, ou les titres différents pour désigner la même œuvre, rendent difficile l'exactitude absolue de la compilation. Certaines mensurations des tableaux diffèrent également d'un ouvrage à l'autre, et d'un musée à l'autre. La sélection ci-dessous, dans le doute, cite les deux versions.
C'est aux États-Unis que s'est tenue en 1997, à la Menil Collection (Houston), une sélection des œuvres de l'artiste, choisies par John Golding, qui a été présentée également à Londres cette même année. Le musée des beaux-arts de Houston coproduit la rétrospective 2013 au Grand Palais de Paris et l'accueillera ensuite du au [3].
Outre les références puisées dans les ouvrages cités en bibliographie, la liste des œuvres est en grande partie issue du catalogue de l'exposition de 1992 à la Fondation Gianadda, pour les lithographies, mais aussi des collections de tableaux et sculptures mises en ligne par les musées américains notamment : The Phillips Collection, le Metropolitan Museum of Art, le Philadelphia Museum of Art, l'Institut d'art de Chicago, les musées anglais Tate Gallery de Londres, par le site Athenaeum (devenu inaccessible actuellement), le catalogue de l'historien d'art John Golding, et le catalogue de la rétrospective Braque 2013-2014, de la Réunion des musées nationaux et du Grand Palais des Champs-Élysées.