Louis Blanc
journaliste, historien, membre du gouvernement provisoire de 1848, député de la Troisième République / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Louis Blanc?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Pour les articles homonymes, voir Blanc (homonymie) et Louis Blanc (homonymie).
Louis Jean Joseph Blanc, né le à Madrid et mort le à Cannes, est un journaliste et historien français, membre du gouvernement provisoire de 1848 et député sous la Troisième République.
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Vous pouvez améliorer la vérifiabilité en associant ces informations à des références à l'aide d'appels de notes.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture |
Cimetière du Père-Lachaise, Grave of Blanc (d) |
Nationalité | |
École/tradition | |
Principaux intérêts | |
Idées remarquables | |
Œuvres principales |
Organisation du travail (1839) |
Influencé par | |
A influencé | |
Célèbre pour |
Avoir été : - « Républicain de la veille », - Membre de la campagne des Banquets, - Pdt. de la Commission du Luxembourg, - Fondateur des Ateliers sociaux, - Contre les « républicains du lendemain ». |
Citation |
'« De chacun selon ses facultés, à chacun selon ses besoins. » |
Fratrie |
Il est promoteur de l'aphorisme communiste De chacun selon ses facultés à chacun selon ses besoins : « L'égalité n'est donc que la proportionnalité, et elle n'existera d'une manière véritable que lorsque chacun […] produira selon ses facultés et consommera selon ses besoins. ». Cet adage sera notamment repris par les communistes libertaires et les marxistes.
Socialiste et républicain, il participe à la campagne des Banquets en faveur du suffrage universel et propose, après la Révolution de 1848, la création des Ateliers sociaux afin de rendre effectif le droit au travail. Il est finalement contraint de s'exiler à Londres après les Journées de Juin car tenu pour responsable de l'émeute du . Il y demeure jusqu'à la fin de la guerre franco-prussienne de 1870 et entre de nouveau à l'Assemblée nationale en 1871, siégeant à la chambre basse une dizaine d'années, à l'extrême gauche.